Cinq ans d’Histoire de France, c’est peu.
C’est le temps du mandat présidentiel, c’est le temps imparti pour un stop ou encore.
Comme si la présidence actuelle semblait déjà s’éterniser sinon avoir assez duré, le prochain quinquennat se prépare déjà.
Alors qu’une année à peine vient d’être accomplie par un président autoproclamé normal, l’humeur est au désaveu faute d’être à la louange du travail accompli.
Les avis, bien sûr, divergent et se discutent, démocratie oblige.
Sans préjuger de la qualité du temps restant au président de la justice et de la jeunesse* pour faire ses preuves, il semble difficile de déceler l’enthousiasme que l’exercice de ses fonctions susciterait.
Certes, les mariés de l’an II, unis sous les regards de projecteurs du monde entier, ne boudent pas leur plaisir ni ne doivent regretter les efforts consentis pour porter au pouvoir celui qui leur avait promis le Graal.
Mais que dire de toutes celles et ceux qui attendent encore un signe de l’élu?
Gagner le coeur de citoyennes et de citoyens pour l’exercice de la plus haute fonction de l’Etat n’est que le début d’un parcours de cinq ans.
Si en chemin, les désaveux se suivent et s’accumulent, c’est le sens même de la victoire qui exige d’être remis en perspective.
* http://voix.blog.tdg.ch/archive/2013/06/22/je-suis-fier-d-avoir-ete-capable-de-redonner-espoir.html
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