En ce début d’été caniculaire qui nous est expliqué par le « dérèglement climatique », on ne cesse de culpabiliser tel ou telle en lui rappelant son « empreinte carbone ».
Mais enfin, quand on fonce tête baissée vers des sociétés de plus en plus informatisées, de plus en plus connectées, réseautées, électrifiées des voitures aux fenêtres en passant par les ascenseurs et j’en passe, il serait temps de pointer les véritables responsables des modifications du climat!
Il serait surtout essentiel de se préoccuper des exigences énergétiques de l’intelligence artificielle.
Même si elles demeurent encore entourées de flou, elles sont tout de même signalées et inquiètent. Quelles mesures sont prévues si tant est qu’on veuille bien empoigner ce fléau?
L’article cité plus haut en référence est long mais vaut la peine d’être lu.
Quelques médias se font les relais de cette IA énergivore. Mais avec un peu de chance, on nous rassurera, on nous dira qu’on a trouvé comment réduire la consommation effarante de ce monstre.
Oui, fléau n’en est que le prénom.