Alors qu’un accord de cessez-le-feu, certes encore fragile, vient d’être signé mais que des combats se livrent non loin du barrage menacé par les projets d’un résident genevois*, Le Temps media suisse de référence, comme l’indique la mention qui accompagne partout sa raison sociale, ouvre ses colonnes à deux spécialistes de la Russie.
Leurs articles, parus dans les éditions de ces 6 et 8 septembre, indiquent, une fois n’est pas coutume, un degré de finesse et d’analyse hors pair.
Les auteures, pétries de culture et d’histoire, évoquent des points de vue, certes présentés comme subjectifs mais accompagnés de telles références qu’on en redemanderait.
Staline, Hitler, le goulag, la propagande, Staline, la propagande, le goulag, Hitler, dans l’ordre ou dans le désordre, on ne risque pas de se perdre tant le champ de leurs connaissances est quadrillé.
On croit parfois avoir tout lu dans les médias sur la Russie. On se trompe.
Le Temps, media suisse de référence, nous le prouve une fois encore.
Par respect envers les toutes celles et ceux qui ont donné leur vie pour libérer l’Europe d’Hitler, par respect envers toutes celles et ceux qui ont perdu la vie en Ukraine sans comprendre pourquoi**, je ne citerai pas le nom des auteures publiées dans les éditions des 6 et 8 septembre du Temps, media suisse de référence.
* http://voix.blog.tdg.ch/archive/2014/09/07/suisse-ukraine-le-titre-et-les-cendres.html
**http://voix.blog.tdg.ch/archive/2014/09/01/за-что-pourquoi-259363.html
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