Le cinéma s’est emparé de l’histoire de Philippe Pozzo di Borgo, il le devrait aussi de celle de Dominique Strauss-Kahn. Mis à part tout ce qui se lit et se dit sur les deux hommes, tous deux partagent le mal qui dévaste le corps. Par le besoin de fuite de l’un et l’accident qui a suivi, par la maladie inavouée de l’autre et la sanction qui l’a frappée. Leur vie à chacun, même sublimée pour l’un et encore en mêlée pour l’autre, reste à porter et supporter.
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