En somme lorsqu’on remet en cause la version donnée d’un fait par un ou des médias, on serait complotiste.
Mais lorsqu’un ou des médias imaginent une main invisible à l’oeuvre pour expliquer un fait, en aucun cas ils ne le seraient, complotiste(s).
Preuve en est l’affaire Griveaux qui défraie la chronique et met en cause un « artiste » russe et sa compagne.
Dans un article du journal « Le Monde », on arriverait presque à nous faire croire de celle-ci qu’elle serait au service du Kremlin:
C’est tout de même extraordinaire comme aimer la Russie vous rend de facto proche de son gouvernement et de son Président.
Sauf, bien sûr, à être expert reconnu par la quasi totalité de nos médias.
Parce qu’on ne les compte plus ces « spécialistes » qui tiennent à nous ouvrir les yeux. Ils publient livre après livre pour nous dire ce qu’est la Russie de Poutine
Et voilà qu’un de ses opposants met la France à mal en brisant les espoirs d’un candidat du parti majoritaire à la Mairie de Paris que tout de suite est recherchée l’influence du Kremlin.
Décidément, ces Russes, ce n’est plus seulement des poutinophiles qu’il faut se protéger mais aussi de ses plus farouches opposants.
Ou alors, ou alors, de femmes qui en tombent si amoureuses qu’elles sont prêtes à tous les plus mauvais coups pour mettre au pas une République en marche.




