La SNCF indique qu’il n’y a pas lieu de mettre en relation les deux déraillements qui se sont produits ce même 12 juillet 2013 sur la même ligne ferroviaire Paris-Limoges.
Si l’un d’eux, celui qui a eu lieu sur un site du groupe nucléaire AREVA a été revendiqué par un militant antinucléaire, il n’en va pas de même pour celui de Brétigny-sur-Orge.
Coïncidence ou pas, dans les deux cas, une éclisse a été en cause.
Sur le site d’AREVA, elle a été retrouvée en partie déboulonnée et a provoqué le déraillement partiel d’une locomotive. A Brétigny-sur Orge, elle a été totalement déboulonnée et retrouvée logée au coeur d’un aiguillage.
Le mystère de forces inconnues à l’oeuvre serait-il à prendre en considération quand on sait le poids d’une éclisse et des boulons qui la serrent?
Si sur les lieux du drame de Brétigny-sur-Orge, la présence de pillards a été avérée et aussitôt contestée, qu’en sera-t-il du sort réservé aux éclisses déboulonnées en partie ou totalement?
Le résultat de l’enquête ne rendra certes ni la vie aux disparus ni leur intégrité corporelle aux blessés. Mais l’honnêteté de résultats est au moins attendue par respect envers eux.
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/auto-transport/actu/0202903396624-sncf-une-eclisse-sabotee-a-fait-derailler-un-train-587211.php
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