Nous rappeler que nous vivrions, en Occident, sous des régimes qui seraient démocratiques, c’est nous rappeler que nous serions chanceux au regard de ce qu’ont à subir les peuples de pays où la parole serait confisquée.
Ah la bonne heure!
Mais c’est vrai, rien à dire, ailleurs, on se débarrasserait sans état d’âme d’ innocent(e)s. On les emprisonnerait au mieux, au pire, on les liquiderait d’une façon ou d’une autre.
Surtout dans quelques pays bien sélectionnés.
Je vous laisse deviner lesquels sinon lequel. A vrai dire, vous ne risquez pas de chercher longtemps, on en parle à peu près chaque jour dans nos médias.
Au sujet des autres, on reste plus circonspect.
Normal, des intérêts sont en jeu, des intérêts qui savent se faire discrets, bref, des intérêts qui ont intérêt à ce que les colonnes et les ondes de nos médias ne soient occupées que par le(s) même pays à descendre.
Mais surtout, n’en dites rien faute de quoi…
Parce que c’est ainsi que procèdent ces défenseurs acharnés de libertés et de droits humains. Ils vous prêtent des propos, vous attribuent des rôles, ont les moyens de leurs perversions.
L’expérimenter, c’est entrer dans une nouvelle dimension. Celle de tant de personnes et de personnalités soudain exclues. Ou vaincues par l’abjection.
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