Avant la diffusion, ce samedi 7 octobre, de la prochaine émission d’On n’est pas couché que d’aucuns ne regardent plus, on le sait et on l’a bien compris, il n’est pas inutile d’y revenir malgré tout.
Parce qu’il n’y a pas que cette émission qui heurte certaines et certains. C’est, en général, la médiatisation de questions et de sujets qui hérisse et, parfois, heurte. Car de quoi bruissent les réseaux sociaux sinon de ce qui a été lu, vu ou entendu ici et là pour y réagir?
Ce qui s’est passé sur le plateau d’ONPC entre Christine Angot et Sandrine Rousseau et l’écho que leur échange a eu en est bien la preuve.
C’est pourquoi je tiens à saluer, ici, le travail accompli tout au long de la semaine par les journalistes qui ont sollicité les deux protagonistes en cause pour interviews et explications.
Il est important de souligner la qualité du travail réalisé tout comme il l’est aussi lorsqu’un sujet est abordé de manière orientée.
Aussi, pour qui veut bien consacrer toute l’attention qui convient à cet article, voici ce que rapporte Christine Angot de ce qui s’est passé et qui mérite qu’on s’y arrête pour éviter autant de jugements hâtifs quand il ne s’agit pas de rejets haineux.
Pourquoi, ici, tant d’insistance à cet égard? Tout simplement parce qu’il est question d’inceste et de violences sexuelles et qu’on a eu droit à leurs effets ravageurs en dépit de toute manière d’avoir cherché à les surmonter.
C’est cela que d’aucuns refusent de prendre en considération. Que le corps meurtri se trahit. Et c’est ce corps meurtri qui a pris le pas sur la parole ou le discours et toute forme de bienséance d’usage.
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