Ce slogan « On est chez nous » a été martelé lors de la manifestation qui a mis aux prises les employés d’Air France et leurs dirigeants.
« On est chez nous » n’a toutefois pas fait le tour de la planète comme l’image ci-dessus.
La raison de ce slogan et de son occultation médiatique s’expliquerait par le fait que le Qatar soit de plus en plus présent au sein de la compagnie d’aviation sinon de la France elle-même.
On sait le nombre de biens de l’Hexagone devenus désormais qataris. Il en avait été question ici-même, il y a trois ans déjà:
http://voix.blog.tdg.ch/archive/2012/09/24/quatar-du-nord-mali-a-paris.html
On se rappelle aussi la petite enveloppe solidaire distribuée à quelques personnalités françaises, tous horizons politiques confondus:
http://voix.blog.tdg.ch/archive/2015/06/06/quatar-solidarite.html
Que la France soit appréciée pour ses valeurs et ses biens semblerait rejoindre la nécessité de s’en défaire sans autre forme de procès.
« On est chez nous », slogan raciste, cri désespéré d’employés menacés ou appel à sauver ce qu’il reste encore d’Air France?
air france
Volkswagen, Air France, autant de références désormais mises à mal.
Certes, les problématiques sont diverses mais affectent des symboles et pas des moindres.
Que des enquêtes menées au sein de ces compagnies parviennent à identifier les coupables, l’image de ces fleurons de l’industrie allemande et de l’aviation française n’en est pas moins atteinte.
La guerre se mène décidément sur tous les fronts, le rappeler est une lapalissade, s’y habituer, un choix.
Certains, pourtant, refusent le cynisme. Parmi eux se comptent autant d’employés de Volkswagen, d’Air France ou autres entreprises ou associations.
C’est que ces personnes ont défendu des valeurs soudain sabotées.
Ce qui s’est passé chez Air France affecte non seulement la compagnie aérienne mais ses employés dont tous ne sont pas passés à l’acte qui a visé deux cadres roués de coups.
La violence des actes trouvera toujours à s’expliquer, mais le dégât d’image?
Nouvelle polémique parmi d’autres.
L’une d’elle vise Carla Bruni-Sarkozy qui vole au frais du contribuable français alors que la loi le permet.
Si cette loi mérite d’être modifiée, dans ce cas, qu’on s’en occupe!
Et tout autant des avantages accordés à Valérie Trierweiler dont l’intérêt général semble aller de soi.
Pour l’évaluation des pertes et profits, on repassera.
Pour l’heure, Moi Président de la Justice s’est vu rappelé à l’ordre…du monde
http://www.lefigaro.fr/societes/2013/07/04/20005-20130704ARTFIG00269-un-vol-gratuit-de-carla-bruni-sarkozy-passe-mal-chez-air-france.php