capture d’écran Google
Il y a un peu plus d’un an, sur ce blog, je partageais le sujet que je reprends tel quel ci-après tant rien n’a changé depuis, sinon en pire:
Tandis que la France veut imposer onze vaccins avant la fin de cette année, on découvre, en même temps, que le monde entier serait victime de pénuries de médicaments.
Et autant de vaccins, apprend-on au passage.
Il vaut la peine de prendre le temps de lire cet article pour comprendre comment le monde entier se voit ainsi affecté par la pénurie de médicaments.
On mesure, alors, ce qu’implique la rentabilité à tous niveaux et, surtout, au prix de la vie si elle est en jeu.
L’un des protagonistes qui apparaît dans l’article trouve tragique que des produits considérés comme absolument nécessaires à la santé publique soient dépendants d’une logique uniquement marchande.
Eh oui, il semble que les big pharma, comme on les appelle, aient besoin de penser avant tout à eux…
Et comme la mondialisation ne les oblige en rien à se soucier de la vie de telle ou tel, ils ont toute latitude pour agir à leur guise. Aux pouvoirs publics de s’arranger comme ils pourront pour prévoir.
Parce que, dit ce membre de la direction de l’Office fédéral pour l’approvisionnement économique, nous ne pouvons pas exercer de pression sur une usine située à l’autre bout de la planète, même si c’est elle qui nous approvisionne.
L’ultra-libéralisme à l’oeuvre et en action, en somme…
Economie, Politique