Dans sa critique d’une pièce de théâtre de l’écrivain suisse Lukas Bärfuss, récemment jouée à Genève et à Lausanne, Alexandre Demidoff relevait le talent avec lequel était traité le thème du suicide assisté.
A cet égard, le journaliste écrivait de l’homo helveticus, qu’il revendiquait une tolérance en matière d’euthanasie et interrogeait sur ce que celle-ci révélerait de l’identité suisse si elle le devait.
http://www.letemps.ch/culture/2015/10/16/fascinant-voyage-theatral-lukas-barfuss-pays-suicide-assiste
L’appellation d’homo helveticus n’est pas une AOC. On la trouve dans différents articles ou autres interviews comme celle-ci:
http://www.bloglagruyere.ch/2012/09/10/massimo-rocchi-a-la-decouverte-de-lhomo-helveticus/
Quoi qu’il en soit, le tollé qu’a suscité la tribune publiée par Lukas Bärfuss dans la Frankfurter Allgemeine Zeitung interpelle:
http://www.letemps.ch/suisse/2015/10/17/ecrivain-lukas-barfuss-etrille-suisse-pays-nains-catatoniques
Jean-Jacques, aime ton pays, avait dit son père à Rousseau.
Critiquer son pays ne revient pas à ne pas l’aimer mais jusqu’où sont fondés les propos de l’écrivain suisse, telle est la question.
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