Un double attentat a encore une fois endeuillé. Des familles, des proches, des villes, un pays, l’Egypte.
Le monde dans lequel on vit n’est pas forcément plus dangereux que celui qu’ont connu nos aïeux. Ce qui le distingue, c’est qu’il est connecté. Certes, pas partout et loin s’en faut.
Bienheureuses soient, ou pas, les personnes tenues en dehors de cet univers accessible en quelques clics, à elles de se prononcer.
En attendant, le quotidien de qui se préserve ou dépend d’internet est soumis aux mêmes puissances qui le gouvernent.
En commentaire au précédent sujet de ce blog a été rappelé un ouvrage paru en 1976 et qui s’intitule Ces malades qui nous gouvernent.
Ce titre évocateur l’est à plus d’un égard.
Le désir de puissance, en effet, semble s’accommoder de toute maladie. De même, le désir de puissance écrase-t-il ce qui retient son accomplissement.
La preuve nous en a une fois encore été donnée en ce dimanche des Rameaux ensanglanté par la terreur.
En hommage aux victimes
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