Pour qui aurait suivi cette affaire relative au chant d’un coq duquel la propriétaire a dû rendre compte en justice, vous aurez sans doute appris que l’animal et son chant matinal auront trouvé grâce auprès du tribunal qui ne les a pas condamnés.
La partie civile invoquait à son appui le dossier du bruit.
En d’autres termes, musiques, klaxons intempestifs ou autres nuisances sonores devaient inclure le chant du coq. La justice a rejeté la plainte, il n’est pas précisé si appel sera interjeté du jugement. En attendant, on peut lire dans cet article qu’un prochain procès attend des oies et des canards…
Anodin, le fait peut être considéré tel. Mais pas tant que cela, en réalité.
Car il dénote jusqu’où certaines personnes sont capables d’aller pour défendre leurs droits sinon leur confort. Ce procès intenté à un animal et à sa propriétaire a sans doute aussi d’autres significations qui nous échappent et qui échappent peut-être même à la partie civile.
Une époque formidable, non? Sauf que le film éponyme, c’est une autre affaire…
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