Récemment, le représentant de l’Arabie Saoudite a été élu pour présider le groupe qui nomme les experts du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies.
Si la confusion a régné autour de cette nomination tandis que certains médias relayaient celle de l’Arabie Saoudite elle-même à la tête du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies, le fait qu’il s’agisse ni de l’Arabie Saoudite en tant que telle ni du Conseil des Droits de l’Homme en tant que tel non plus, nuance ladite nomination.
Il n’en demeure pas moins vrai qu’à la question de savoir si un dialogue reste envisageable avec l’Arabie Saoudite alors que celles et ceux qui le tentent sur place, subissent un sort peu enviable, la réponse paraît loin d’être acquise.
L’idéal, bien sûr, serait de persister à croire possible un échange de points de vue avec ce pays. C’est en tous les cas ce à quoi s’emploient certains, tel l’ancien ministre socialiste français de la culture, Jack Lang.
Dans une interview qu’il a accordée à la radio française Europe1, il s’en explique:
http://www.europe1.fr/politique/ali-al-nimr-jack-lang-ne-veut-pas-rompre-avec-larabie-saoudite-2519543http://www.scoop.it/t/desinformation
Pour le reste et s’agissant de la nomination du représentant de l’Arabie Saoudite à la Présidence du groupe qui nomme les experts du Conseil des Droits de l’Homme des Nations-Unies, l’article ci-dessous en rend compte d’une manière qui met aussi en cause la précipitation des médias à (dés)informer.
http://www.scoop.it/t/desinformation
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