L’indéniable brutalité humaine dont fait preuve Edwy Plenel, sa difficulté à fixer lui-même des bornes à son pouvoir sont d’autant plus déroutantes qu’elles s’entremêlent étroitement à une sincère autoreprésentation en victime..
Ces lignes sont de Daniel Schneidermann et sont extraites de son ouvrage paru en 2003 chez Denoël, alors que Pierre Péan et Philippe Cohen venaient de publier La face cachée du Monde et y dénonçaient sa gestion alors aux mains du trio Plenel-Colombani-Minc.
Pour en savoir plus sur Edwy Plenel, le portrait dressé dans cet article est à lire absolument.