capture d’écran Tribune de Genève
Si le combat féministe passe par le saccage de tel ou tel monument, de telle ou telle statue, autant dire que la cause de la femme a trouvé ses milices.
L’exécration de l’Histoire aurait-elle atteint autant de cerveaux et de bras qu’ils ne soient plus en mesure que de détruire?
A Genève, dans la nuit du 3 au 4 mars, le Mur des Réformateurs et la statue du Général Dufour ont été tagués. A l’évidence, les activistes qui se sont plu à signer ainsi leurs valeurs doivent compter un nombre significatif d’adeptes.
Si procéder ainsi pour défendre une cause trouve un écho, rien de surprenant.
A force de répéter que la femme n’est que victime, à force de rabâcher que l’homme abuse quand il ne viole pas, le résultat se connaît.
A force de faire de l’homme son agresseur, la femme y gagne quoi?
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