Qui contesterait le fait de réagir à la violence qui s’exprime dans les sociétés? Personne n’y demeure insensible. Mais de là à brandir la solution susceptible de venir a à bout de ce phénomène, il y a un pas à ne pas franchir. Car si la réflexion sur ce problème n’est pas exclue, qu’elle soit au moins conduite de manière lucide et réaliste. On observe trop souvent la mauvaise foi gangrener les débats qui traitent de la ou des violence(s). A cet égard, l’éditorial de Peter Oborne*, paru dans « The Telegraph » est instructif en ceci qu’il ose s’attaquer à des modèles qui inspirent aussi ceux dont on réprime ensuite les agissements. * http://voix.blog.tdg.ch/archive/2011/08/19/peter-oborne-le-journaliste.html
emeutes
La lecture des émeutes en Grande-Bretagne, que donne l’éditorialiste du « Telegraph » Peter Oborne, choque et rallie. Même ceux qui ne se reconnaissaient jusqu’à présent pas dans ses points de vue, saluent son article :http://blogs.telegraph.co.uk/news/peteroborne/100100708/the-moral-decay-of-our-society-is-as-bad-at-the-top-as-the-bottom/ Le quotidien français La Tribune en a rendu compte dans son édition du 14 août dernier: http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20110814trib000642393/et-si-l-elite-britannique-avait-inspire-les-emeutiers-anglais-.html
Pub
On pensera ce qu’on veut de Levi’s. On notera tout de même que la marque se comporte avec un peu moins d’empressement que certains, prêts à tout pour se faire connaître. http://www.lematin.ch/actu/societe/levis-renonce-sa-pub
Force
Le pouvoir est au bout du fusil, selon Mao Tsetoung. Et si on lui ajoute la fleur?