Le successeur de Laurent Fabius au Quai d’Orsay semble avoir bien appris la leçon.
Il ne souligne, certes pas comme son prédécesseur, la qualité du boulot fait en Syrie par Al Nosra ni d’autres propos concernant la présence sur Terre du Président syrien.
Le fait est que là-contre, plainte a été déposée, en son temps comme l’indique cet article du Figaro daté du 10 décembre 2014:
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/12/10/97001-20141210FILWWW00263-des-syriens-demandent-reparation-a-fabius.php
Dans le cadre d’une de telles horreurs guerrières dont la Syrie est encore le théâtre, est-il vraiment utile de ne rappeler à leurs responsabilités que deux pays seulement?
Quel intérêt la France trouve-t-elle à prendre à ce point parti?
Certes, il n’est pas attendu d’humanisme au-delà du raisonnable de la part d’un gouvernement quelconque mais tout de même, le début de ce qui s’apparenterait à du bon sens en devrait-il être à ce point absent?
Que reste-t-il au citoyen lambda face à de telles prises de position sinon de les déplorer?
C’est si peu.
Etats-Unis
* http://novorossia.today/une-base-militaire-russe-sera-deployee-pres-des-frontieres-etasuniennes/
Comment les infos et autres intoxes se répandent sur les réseaux sociaux n’est plus à démontrer.
Le fait est qu’il est fréquent de constater que certain(e)s internautes partagent des articles, parfois, sans même regarder la date à laquelle ils ont été publiés, parfois, sans non plus se soucier de la source de laquelle ils proviennent.
Or souvent, elle est indiquée, quitte à renvoyer elle-même à une autre et ainsi de suite.
Tel est le cas de ce qui se trouve en ce moment repris par nombre d’internautes et qui évoque la finalisation projetée pour 2018 d’une base militaire russe à la frontière des Etats-Unis.
L’info est publiée en français sur le site Novorossia today* qui en indique la source russe, un blog qui, lui-même la tient d’un site en langue russe intitulé Novostionline:
https://novostionline.net/politika/u-granits-ssha-poyavitsya-rossijskaya-voennaya-baza/
Or au bas de l’article figure une nouvelle source, cette fois indiquée sans renvoi automatique au site duquel elle aurait été relayée. Une fois sur le site en question, difficile sinon impossible de dénicher ladite information:
https://inforeactor.ru
Or comme elle ne figure, semble-t-il, sur aucun autre site, sa véracité s’en trouve d’autant prétéritée.
Auquel cas, une fois encore, on aura eu à faire à des relais bien aventureux sinon risqués et surtout inutiles d’informations dont le monde pourrait aussi bien se passer.
La santé d’Hillary Clinton est en une des médias.
Les pronostics quant à l’issue du scrutin de l’élection présidentielle américaine vont évidemment bon train mais tout autant la réserve.
Car comme l’explique cet historien interviewé sur Europe1, rien n’indique que la faiblesse momentanée d’Hillary Clinton lors des commémorations du 11 septembre 2001 à New York, ne lui soit préjudiciable:
http://www.europe1.fr/international/pneumonie-dhillary-clinton-le-premier-tournant-de-la-campagne-2844238
Du coup de chaud à la pneumonie, il va de soi que la différence existe.
Et le fait que la communication relative à l’état de santé de Madame Clinton ait d’abord banalisé le malaise filmé ce dimanche 11 septembre, ne manque pas non plus d’attiser les débats.
Quant à l’âge des deux candidats à l’élection présidentielle américaine, lui aussi, se discute d’autant. A l’expérience acquise par les années s’oppose la vigueur de quelques décennies de moins.
Rien de nouveau à ce genre de problématique dont les regards qui la constituent présentent toujours de quoi se justifier.
Reste encore le genre, comme on dit maintenant et l’image qu’il est susceptible de renvoyer…
capture d’écran de l’article indiqué en lien au bas du sujet
Un pan d’Histoire de la Californie et de la Russie est évoqué dans un article du grand quotidien suisse Le Temps.
Suivi de trois questions, pour la deuxième, à peine orientée, la réponse qu’y apporte le Professeur Liebich est bienvenue.
On peut toujours s’interroger sur l’opportunité de tels rappels historiques tandis que le sujet traité concerne deux grandes puissances dont les relations restent tendues.
N’est-il pas sans cesse martelé le désir d’hégémonie russe sur l’Occident sinon le reste du monde menacé d’être envahi sans la vigilances de nos édiles et autres élus ou relais médiatiques?
Se montrer critique n’équivaut pas à rejoindre le rang des complotistes de service.
C’est demeurer conscient de forces à l’oeuvre pour orienter et influencer un public qui cherche ses repères dans la saga mondiale mondialisante.
L’Histoire est un passé construit et rapporté selon toutes sortes de critères et de références. En faire part à tel ou tel moment peut être ou ne pas être anodin.
A chacune et à chacun d’apprécier et de comparer les deux versions ci-dessous de la Californie russe:
https://www.letemps.ch/culture/2016/09/02/un-mariage-pres-silicon-valley-aurait-russe
http://www.america-dreamz.com/info/empire_russe_californie.php
Ca y est, la fin du monde ou peu s’en faut a trouvé son porte-parole.
A vrai dire, d’autres avant lui se sont déjà fait entendre sur le sujet. En l’occurrence, le site Slate.fr s’est fait le relai du point de vue exposé par Tobias Stone et lui consacre un article:
http://www.slate.fr/story/122257/veille-cataclysme-historique
A quoi jouent ces Cassandre?
Car à suivre ce qui s’énonce et se publie ici ou là sur l’état du monde et son avenir, on n’est pas loin de la catastrophe annoncée.
Ce qui laisse toutefois perplexe est la diversité des responsabilités accordées aux uns et aux autres.
Le seul point commun entre ces prophètes, par contre, semble être l’absolue nécessité de prévenir le monde qu’il est au bord du gouffre.
En tous les cas, John Pilger dont je citais un article ici-même, se contentait, pour sa part, d’estimer que nous étions déjà en train de vivre la troisième guerre mondiale:
http://voix.blog.tdg.ch/index-3.html
Alors, Trump ou pas Trump, la diplomatie existe!
Comme sans doute chacune et chacun le sait, les sportifs handicapés russes ont été privés de jeux paralympiques.
Il en avait été question ici-même:
http://voix.blog.tdg.ch/archive/2016/08/08/mc-laren-ou-la-preuve-sans-preuves-pour-viser-la-russie.html
Voici que Donald Trump s’en mêle et dit tout le bien qu’il pense de cette décision.
Prise par le Tribunal arbitral du sport, elle a été saluée par autant d’admirateurs du courage qui a prévalu pour la rendre.
A l’évidence, le candidat républicain à la présidentielle américaine aggrave son cas. Certes, il n’en est pas à son premier coup d’essai.
En l’occurrence, en serait-ce un de remettre en cause un tel consensus de la communauté internationale à exclure les sportifs russes des Jeux paralympiques?
https://fr.sputniknews.com/international/201608251027456984-paralympiens-russes-suspension-trump/
La Radio Télévision Suisse proposait, ce 25 août, un documentaire intitulé Jackie sans Kennedy.
Produit en 2013, ce film avait déjà été diffusé sur différentes chaînes de télévision françaises.
On y découvre le regard porté par Jacqueline Kennedy sur diverses personnalités du monde politique et sur John Kennedy, bien sûr, qu’elle appelle Jack.
Un autre film, en anglais, celui-ci, a suscité de très nombreux commentaires sur ce site:
http://www.dailymail.co.uk/news/article-3740902/New-film-explores-Jacqueline-Kennedys-hand-JFKs-legacy.html
A noter encore, pour cette année, une Nathalie Portman en Jackie Kennedy:
http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18649253.html
Il est des personnages mythiques de l’Histoire, Jackie en est sans doute un.
A moins que l’approche d’élections ne suscitent et ne motivent un tel regain d’intérêt pour une épouse de président…
A lire différents articles où sont exprimés des points de vue sur les suites que pourrait avoir le coup d’Etat déjoué en Turquie, on entre de plain pied avec le nucléaire et ses risques.
Si d’aucuns relativisent la situation en relation avec la base d’Incirlik où sont stockées des armes nucléaires, d’autres évoquent déjà leur transfert vers la Roumanie.
Quoi qu’il en soit, ces regards sont intéressants par les informations qu’ils transmettent.
Ils mettent aussi en lumière la considération que les Etats-Unis portent à leurs alliés. Et pour ceux des pays qui le seraient moins ou pas, il paraît difficile de nier les pressions qui les visent.
À découvrir ici, les propos de Roland Lombardi et là, ceux de Georgi Gotev et Joel Schalit.
Ce sujet ci-dessous a été publié le il y a près de deux ans, le 29 septembre 2014, plus précisément.
Depuis, les décapitations se sont suivies et la France en a connu deux sur son sol.
Ainsi, lors de la table ronde dont le lien figure en bleu ci-dessus, a-t-il été tenté d’aborder une thématique dont on ne peut faire l’impasse.
En ces temps où l’on décapite à tout va, où l’on évoque sans vouloir le nommer un « Etat Islamique », bien des questions se posent.
Les réponses à leur donner divergent et restent pour l’heure difficiles à cerner.
Que nous le voulions ou non, nous sommes projetés dans des conflits alimentés par le fanatisme religieux.
Daesh ou pas Daesh, on tue car on s’y déclare autorisé.
L’information qui circule ici et là et dont « Charles » a indiqué le lien en commentaire à un précédent sujet de ce blog vaut son pesant de réflexion.
Selon une source citée sur l’article en question, le Président Erdogan aurait été sauvé par son homologue russe:
http://numidia-liberum.blogspot.ch/2016/07/coup-detat-en-turquie-poutine-sauve-la.html
Vraie ou fausse, l’information est publiée.
Soit elle sera contredite, auquel cas, elle n’aura constitué qu’une intoxe de plus, soit elle sera confirmée.
Le fait est que l’information a été relayée sur différents sites dont celui-ci:
http://www.camerounliberty.com/coup-detat-en-turquie-poutine-a-sauve-la-vie-a-erdogan/
Cela dit, pour le site Agoravox, c’est l’Iphone du Président Erdogan qui l’aurait sauvé:
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/coup-d-etat-rate-en-turquie-182912