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Culture, Politique, société

Matzneff-Springora

Déclenchée par un livre dont je ne puis que vous recommander la lecture, la mal nommée « affaire Matzneff » ne peut être traitée à la légère.
« Mal nommée », oui.
Car c’est bien plus qu’un homme qui est mis en cause. Ce sont bien davantage que ses écrits qui sont conspués. C’est la sublimation par la création artistique qui est mise à mal.
La littérature sulfureuse n’a pas attendu Gabriel Matzneff pour trouver son public duquel je n’ai jamais été, dois-je le préciser encore.
Pourquoi je ne cesse de revenir à cette actualité? Parce qu’elle révèle comment un livre, en l’occurrence celui de Vanessa Springora est instrumentalisé.
L’auteure elle-même ne cache pas sa surprise face à l’écho largement international remporté par son ouvrage.
Un grand titre de la presse états-uniennes en parle dans ses colonnes, un autre, en Allemagne pour ne citer que ces deux pays.
La pédophilie reconsidérée en pédo-criminalité est un mal avéré. Ses traitements existent mais leurs résultats demeurent aléatoires.
Nombre d’hommes de tous les milieux sociaux-éocnomiques, de toutes les professions souffrent de cette inclination sexuelle. Et parmi eux, de grands artistes dont on continue d’admirer les oeuvres.
A quand leur interdiction? A quand la censure de films de Pasolini? De romans d’André Gide? De toiles du Caravage?
Foin d’hypocrisie et d’inculture, soyons cohérents et liquidons autant de créateurs dont on regarde, lit et contemple toujours les oeuvres!

Culture, société

Oser dire

Oui, ce qui se passe au sein du monde littéraire français me touche, vous l’aurez bien sûr compris au nombre de sujets que j’ai déjà consacrés à ce qui s’appelle de plus en plus « l’affaire Matzneff ».
J’y suis sensible à maints égards.
Dans l’ordre ou le désordre, parce que cet univers parisien lettré, j’ai eu l’occasion de le fréquenter dès 1975 jusque vers les années 1990.
Parce qu’en mai 68, j’ai commencé à écrire, j’avais 14 ans et demi
Parce qu’à cette époque, je me rappelle très bien comment un professeur de l’école où je me trouvais entretenait au vu et au su de tout le monde, une relation avec une des élèves de l’établissement.
Parce qu’à pas même 4 ans, j’ai eu la chance d’être retirée in extremis des mains d’un prédateur, parce que, plus tard, des abuseurs, j’en ai connu et plus d’un seul.
Parce que, des hommes dominés par d’irrépressibles pulsions, j’en ai écouté. Et autant de perceptions du désir et du sentiment amoureux ont inspiré l’ensemble de mes recueils de nouvelles.
Sans prendre parti car pour moi écrire n’équivaut pas à juger.
Ce cadre posé pour dire que oui, j’ai été sensible au récit que nous livre Vanessa Springora dans « Le Consentement » mais tout autant suis-je restée critique.
Non pas qu’au style ou à la construction de son ouvrage mais à l’histoire telle qu’elle nous la rapporte.
Et ce qui m’a frappée avant tout a été ce qu’elle a vécu en famille.
Le manque du père est criant et avoué à de multiples reprises, Tout autant, la souffrance induite par cette absence se lit-elle au fil des pages de l’ouvrage de la désormais directrice des éditions Julliard.
Et tragique concours de circonstances, son père meurt alors qu’elle s’apprêtait à venir parler de son livre dans « La grande Librairie » de François Busnel.
C’est parce que l’émission prévue a dû être annulée que nous avons été prévenus de ce décès.
Il faut lire le livre de Vanessa Springora. Pour mesurer à quel point a fait défaut autour d’elle, l’autorité. Mais demeure la question de savoir si elle l’aurait respectée?
Quand on est amoureuse, amoureux, on ne supporte aucune entrave au désir. Et c’est bien là le début de souffrances qui vont jusqu’au suicide, nul ne l’ignore.
L’auteure du livre l’a tenté, d’ailleurs. Elle raconte comment, de justesse, son amant de l’époque, Gabriel Matzneff l’a retenue de se défenestrer
S’en sont suivies de nouvelles violentes douleurs psychiques et physiques.
Nombre d’entre nous, certainement, savent ce qu’est un chagrin d’amour et jusqu’où il peut mener. Et quand il se superpose à l’effrayant manque de père, il en devient explosif.

Culture, société

L’écrivain Gabriel Matzneff, sacrifice idéal sur l’autel de la pédo-criminalité

Pour qui l’a vécu, Mai 68 et les années qui ont suivi restent dans les mémoires. Pour qui a connu ce temps de révolte, nul n’oublie comment s’y glissaient les courants libertaires.
Or les voici désormais contestés, les exemples ne manquent pas qui le démontrent.
Le dernier en date vise l’écrivain Gabriel Matzneff, plus personne n’y échappe vu le battage médiatique qui entoure la sortie du livre que Vanessa Springora a consacré à sa relation avec lui.
Pourquoi y revenir encore et encore? Parce que cette affaire interpelle à maints et divers égards, en témoigne cet article que je vous invite très vivement à lire.
Rester conscient, toutefois, qu’avec le temps, la perception d’une relation humaine se modifie, qui plus est après une psychanalyse, est essentiel.
Cependant, on nous parle de faits traités de manière « chirurgicale ». A signaler que ce terme apparaît souvent dans des critiques d’ouvrages dont le style est qualifié tel.
Que la jeune fille d’alors qu’était Vanessa Springora ait idéalisé l’écrivain Gabriel Matzneff, nul doute.
Que l’écrivain ait abusé des projections de l’adolescente, sans doute aussi.
Et que la mère de l’adolescente ait été prise entre le fer et l’enclume tandis qu’elle n’avait d’autre choix que de redouter le suicide de sa fille ou de la laisser convoler avec le quinquagénaire lettré, est tout aussi probable.
Le cadre ainsi posé, on mesure le piège dans lequel est alors tombé Vanessa Springora.
La femme qu’elle est devenue dit ne pas avoir voulu se venger ni accuser l’écrivain dans « Le Consentement ».. On la croit.
Il n’en demeure pas moins que d’autres se sont chargés de clouer l’écrivain octogénaire au pilori.
Où est leur victoire quand on sait que ce seul livre, « Le Consentement », ne risque pas de déranger les moeurs de tant de prédateurs sexuels en liberté?
C’est cette condamnation d’un homme dont je n’ai jamais apprécié ni le comportement ni l’oeuvre qui me gêne. Non, il  n’est pas une victime!
Il est un sacrifice tout trouvé déposé sur l’autel de la véritable pédo-criminalité.

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Le livre, de la voirie à la bibliothèque

A l’heure où, dans nos contrées, le livre est loué pour sa puissance d’en faire disparaître d’autres, saluons cette initiative turque!
A Ankara, en effet, une bibliothèque d’un genre singulier s’est constituée peu à peu jusqu’à devenir désormais reconnue d’intérêt public.
Et l’origine de cette entrepris, c’est à des éboueurs qu’elle est due.
Comme le rapporte cet article, c’est à force de ramasser des livres dans les rues que ces employés de la voirie ont choisi de leur accorder une autre issue que celle vers laquelle ils devaient été dirigés.
Ainsi se sont-ils mis à récolter ces ouvrages condamnés à leur triste fin qu’ils ont rassemblés sur des rayonnages dont l’accès a d’abord été réservé à leurs proches.
Et c’est par l’ampleur qu’a peu à peu connue leur collection que les soutiens se sont manifestés et que, désormais, leur bibliothèque est devenue ouverte au public.
Dans un livre, chacune et chacun y trouve de quoi se projeter, de quoi s’identifier, de quoi rêver mais tout autant de quoi se révolter, de quoi être dégoûté.
L’humanité abrite en elle autant de grandeur que de bassesse, on l’a rappelé ici.
A cet égard, on ignore bien sûr, les critères selon lesquels les oeuvres que propose cette bibliothèque sont sélectionnés. Est-ce de première importance?
A chacune et à chacun y répondre selon son propre rapport au livre.

Culture, Politique, société

Etre humain

Et si l’on s’entendait sur ce qui est conçu comme création culturelle?
Car l’arbitraire agit partout. Et ce qui est estimé relever de l’art l’est souvent par qui a le pouvoir de le décréter et de l’imposer tel.
Et c’est alors que ce qui a pu être porté au pinacle un temps, est descendu en flèche dans un autre temps.
On est là au coeur des liens établis entre art, idéologie et politique. Ce qui doit être montré l’est, le reste, aux oubliettes pour autant que la censure ne s’en mêle.
Quand l’oeuvre rend de l’être humain, ce mélange de grâce et de brutalité, de bonté et de cruauté, de grandeur et de petitesse qui le constitue, oui, cela peut déplaire, déranger, heurter. 
Mais qui, de celles et ceux qui se drapent de la vertu qu’accorde, par exemple leur fonction, ne recèle au fond d’elles et d’eux-mêmes, l’une des dimensions de l’être que dévoile l’oeuvre jetée au rebut?
S’en détourner n’est que mieux sauter un obstacle et condamner qui l’a placé sur un chemin qui ne doit mener que là où le panneau de la fausse morale l’indique.

Culture, Religions, société

Face au mal

Tous ces jours-ci, les médias ne ménagent pas leur peine pour relater autant d’affaires de pédo-criminalité qui visent divers milieux parmi lesquels ceux du clergé, de la médecine, du cinéma, de la littérature.
Autant de domaines où se déploie l’activité humaine et où dominent, le plus souvent, confiance et estime.
En seraient-ils dénués, tous ces milieux alors que tant de vocations s’y révèlent, tant de réels talents s’y exercent parce que, soudain, on y découvrirait quelques comportements répréhensibles?
Non. Et surtout pas.
Car y ramener les quelques personnes qui les salissent pour d’autant les rejeter, c’est comme le dit si bien l’expression « jeter le bébé avec l’eau du bain ».
Alors, de grâce, ne mélangeons pas tout!
« Je veux comprendre pourquoi je suis devenu comme ça. » Cette remarque émise par un chirurgien pervers parmi les pervers a été relayée par son avocat.
Le problème, bien sûr, reste de savoir si, au-delà des réponses qui seraient fournies à la question qu’il (se) pose, son mal s’en verrait modifié. Or rien ne l’assure.
Car sauf à ce qu’une démarche intellectuelle ne contribue à mettre en place des garde-fous, ce qui n’est jamais garanti, elle ne satisfait le plus souvent qu’elle seule.
Et c’est la plupart du temps ainsi, qu’au détriment de l’ensemble des compétences et des talents qui signent une personnalité, son mal l’emporte.

Culture, société

Droit À l’enfant, un livre, un jour?

Quand, dans une quarantaine ou une cinquantaine d’années, à la faveur d’un nouveau mouvement, #youtoo, par exemple, quand à sa suite donc, des êtres s’élèveront et vous pointeront du doigt, vous?
Vous qui avez encouragé la parentalité à n’importe quel prix? Vous qui aurez accepté que des ventres soient payés pour enfanter, vous qui aurez toléré ainsi l’achat d’enfants, comment réagirez-vous?
Quand les générations prochaines mettront vos agissements en cause, que leur expliquerez-vous?
Quand parents 1 et 2 seront à la barre pour tenter de justifier l’amour qu’ils ont voué à leur créature payée au prix fort?
Quand les mères porteuses, par exemple, diront comment elles ont vécu autant d’amour porté à l’enfant qui n’aura jamais été le leur?
Quand vos agissements, cautionnés au nom du « droit À l’enfant » seront reconsidérés? Et qu’ils seront évalués au nom du droit DE l’enfant?
Parce que, pour autant d’enfants achetés, on ne leur aura même pas demandé leur consentement.
On les aura conçus avec des femmes le plus souvent engluées dans la misère et prêtes à tout pour y survivre. On leur aura demandé leur accord pour quelques deniers et, à la clé, un enfant à porter.
Et on se sera réjoui de l’aimer, du reste, pourquoi s’en soucier?
Les années prochaines le diront, si jamais tout abus avait été commis. Et on souhaite vivement que tel ne soit pas le cas. Cependant, rien ne l’assure.
Et le jour viendra peut-être ou une mère, un enfant porté par elle et élevé par des parents 1 et 2 s’empareront de la langue pour dire ou écrire comment ils auront vécu ce commerce.

Culture, société

Et de ce Prix Sade, encore décerné en 2019, qu’en dit-on en ces temps si moraux?

Dans une tribune publiée par Le Monde, l’Académicien français Dominique Fernandez soulève d’importants aspects en lien avec l’affaire qui vise Gabriel Matzneff.
D’emblée il le précise ce n’est pas la défense de la pédophilie qu’il prend. Pédophilie « moralement condamnable, légalement punissable » et dont les « abus criminels » ne peuvent en rien se justifier.
Non, c’est la défense d’un homme désormais « traîné dans la boue » tandis qu’il y a peu encore, il était loué, « pour les mêmes livres qui le font mettre actuellement au pilori. » 
Et de rappeler comment, « depuis plus de quarante ans, tout le monde était au courant de ses mœurs, dont il ne se cachait pas, puisqu’il en faisait lui-même l’étalage ; et voici que, tout d’un coup, avec une unanimité hypocrite, s’élèvent des clameurs d’indignation. » 
Quant à Marie Darrieussecq, qui se réjouissait, dans le JDD, que cette affaire mette « un terme à la domination masculine sur les femmes. », il signale combien de propos est « déplacé, car ladite domination s’exerce aussi bien sur des garçons que sur des fillettes. C’est la domination de l’adulte sur l’enfant qui est en cause, et la fameuse question du consentement. » 
Vient ensuite le constat selon lequel les « premiers défenseurs de Matzneff se rétractent, ses amis le lâchent un à un. Tous s’achètent une bonne conscience en attaquant un homme à terre. Ceux qui l’avaient encensé en parfaite connaissance de sa vie privée se drapent maintenant dans une vertu opportuniste. (…)Son principal éditeur, Antoine Gallimard, vient de donner le coup de grâce, en annonçant qu’il retire son journal de la vente, ce qui signifie pour un auteur la mort professionnelle, le renvoi dans le néant. (…)
Il en vient alors à rappeler « André Gide, qui allait en Algérie à la chasse des « petits Arabes ». Qu’on lui retire son prix Nobel ! A propos de Gide, l’Etat n’était pas si prude, il y a encore trois ans, puisque le ministre de l’éducation nationale mettait au programme des terminales littéraires Les Faux-Monnayeurs, roman ouvertement pédérastique. Ce ministre va-t-il offrir sa démission, pour une aussi grave atteinte à la moralité de jeunes adolescents ? » 
Puis comment « Pasolini fut renvoyé de l’école où il enseignait en Italie, dans le Frioul, et obligé de s’enfuir à Rome parce qu’il avait entraîné des collégiens derrière des buissons. Va-t-on interdire ses livres et ses films ? Le Caravage a peint dans une pose impudique son amant tout nu de 12 ans : le musée de Berlin, pour contenter les familles, va-t-il mettre au rebut L’Amour victorieux admiré par des millions de visiteurs ? Que la curée n’épargne aucun chef-d’œuvre ! » 
Et si jamais, pour qui l’aurait oublié, ce n’est qu’en 1945 que le seuil de la majorité sexuelle a été fixé, en France, à 15 ans.  Jusque là, il l’avait été à 13 ans et avant cela, par une loi de 1832, à 11 ans. De quoi réfléchir au regard porté sur l’enfant…

Culture, société

Silence éditorial et nausée

Quand j’estimais que l’époque portait, à tous les sens du terme… L’époque et le milieu tout autant!
Quand j’évoquais un règlement de compte, justement au sein de ce milieu littéraire et éditorial parisien sinon germano-pratin!
Quand je soulignais combien de victimes de pratiques pédo-criminelles n’avaient que le silence comme réponse à leur maux!
Avant Vanessa Springora dont le livre atteint des records de vente en France, un autre texte jamais édité mais qui portait sur le même mal avait été écrit.
Et ce texte jamais édité a été, lui aussi, soumis à Grasset.
Accepté par une des ses collaboratrices, il a été refusé par son patron et par ses cadres dirigeants de l’époque.
Or il se trouve que l’auteure de l’ouvrage jamais édité ne s’est jamais remise non plus. Qui va s’en soucier? La justice? Vanessa Springora? Grasset désormais ou une autre maison d’édition?
La vie comme elle va, avec ses unes médiatiques, ses unes littéraires et ses tristes silences.

Culture, société

Culture et aura

Suite aux riches échanges que mon précédent sujet de blog a générés sur un réseau social bien connu, plusieurs constats s’imposent.
Tout d’abord, le flou qui entoure le terme de culture, flou souvent relevé dans différents sujets de ce blog consacrés à ce terme un peu devenu fourre-tout de ce fait.
Et je ne suis pas la seule à l’avoir relevé. Je vous invite à lire cet article que Wikipedia consacre au terme de culture, vous prendrez la mesure et du flou et des nombreuses acceptions du terme.
Et puis et sans doute en lien avec ce premier constat, celui de l’aura qui entoure « la culture ». 
Ensuite, l’identification des personnes qui entretiennent un rapport quelconque à « la culture » avec ce que ce terme véhicule de représentations et de valeurs.
Mais, faut-il le préciser, toutes ne sont pas forcément positives.
Car le comportement d’autant de ce monde de près ou de loin lié à « la culture » apparaît aux yeux qui l’observent, souvent auto-doté d’une sorte d’immunité voire même, d’impunité.
Les récentes affaires qui ont touché le cinéma et la littérature en témoignent.
Or c’est précisément ce qui dérange, gêne, voire choque. Que, soudain, des univers le plus souvent idéalisés, soient entachés par le comportement de tel ou tel réalisateur, de tel ou tel écrivain.
Car s’il est admis d’un écrivain, d’un compositeur, d’un réalisateur, d’un sculpteur etc, qu’il jouit d’un talent créatif indéniable, que par ailleurs sa « culture » est vaste, il n’en demeure pas moins ce qu’il est. 
Si j’ai cité Sartre dans ce précédent sujet qui, justement, a suscité autant de réactions intéressantes, c’est parce que lorsqu’il considère que la culture « ne sauve rien ni personne », il ajoute encore, toujours dans Les Mots, que « l’on se défait d’une névrose, on ne guérit pas de soi ».
Aussi et quel que soit le rapport que l’on entretient à « la culture », reste-t-on ce qu’on est. Et « ce qu’on est », varie. Il arrive que « ce qu’on est » ne soit pas forcément reluisant.
C’est précisément ce qui a été porté au grand jour dans certains cas qui ont défrayé l’actualité.
A savoir, comment des personnes entourées de considération ont abusé de leur pouvoir et, par leurs agissements, perverti l’aura qui profite (encore) à ce milieu qu’est celui de « la culture ».