L’Artsakh, c’est ainsi que les Arméniens nomment ce que l’Occident appelle Haut Karabagh ou encore Nagorno Karabagh.
Quelles que soient ces appellations, l’Histoire de cette république du Caucase est complexe.
Elle est rappelée sur différents sites, comme il se doit mais je vous propose d vous rendre sur celui du Ministère des Affaires Etrangères d’Arménie.
Pourquoi?
Parce qu’il est intéressant de saisir le point de vue de l’Arménie de laquelle l’Artsakh revendique les racines aussi profondes qu’historiques.
Il va de soi qu’à lire d’autres approches comme, par exemple, celle publiée sur le site Cairn.info et indiquée en lien ci-après, son intitulé seul suffit à la situer:
L’Etat de facto du Haut-Karabagh arménien.
Le fait est que des vies sont en jeu, que les forces en présence sont animées par autant d’intérêts géostratégiques que de valeurs respectives à défendre.
Et que les négociations en vue de régler pareil conflit entre parties qui campent sur leurs positions sont extrêmement délicates à mener vu la violence qui sévit depuis ce 27 septembre.
Car, en effet, c’est sous la médiation des co-Présidents du Groupe de Minsk de l’OSCE, Russie, Etats-Unis d’Amérique et France que sont placés les espoirs d’accord à trouver.
Pendant ce temps-là, le sang coule de plaies béantes que l’animosité particulièrement guerrière de ce nouveau conflit ouvre à nouveau.
En pensée avec autant de victimes de l’aveuglement humain qui n’a pas fini de briser des vies.