Cet article* en dit long sur le monde parisien germanopratin.
Parce qu’il décrit la mécanique qui a poussé Marcela Iacub à la mise en lumière de trop.
A l’évidence, on ne peut se satisfaire d’évaluer l’entreprise de cette femme sur un plan moral.
Car non seulement il n’est pas son souci mais surtout pas le propos du cadre dans lequel cette histoire a pu se développer.
On se situe en effet bien au-delà des bornes du concevable.
Par son comportement, cette femme a dépassé la transgression et a révélé un narcissisme suicidaire.
Dès lors, inutile de chercher un quelconque goût d’argent ou de pouvoir dans sa démarche.
Intense besoin de reconnaissance, a-t-on pu lire ici et là.
C’est sans doute plus vrai.
Et ses mentors ne s’y sont pas trompés qui ont exploité le filon.
* http://www.lemonde.fr/livres/article/2013/02/28/marcela-iacub-perdue-dans-la-lumiere_1840174_3260.html