La liberté, il n’en a pas écrit que le nom.
Son enterrement au cimetière a été interdit par le clergé.
Inhumé dans les remparts de la ville d’Heraklion, sur sa tombe, Nikos Kazantzakis a pour épitaphe:
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβαμαι τίποτα, είμαι ελευθεροσ
Je n’espère rien, je ne crains rien, je suis libre