capture d’écran: Le Point
Merci aux commentateurs qui ont attiré mon attention sur une autre lecture de la phrase qui avait motivé ma réaction quant au traitement infligé, parfois, à la langue.
Vu la pertinence de leurs remarques, j’ai supprimé le sujet que j’avais intitulé Langue malmenée.
Cela dit, le problème de la langue malmenée subsiste mais en l’occurrence, non, la formulation et l’orthographe de la phrase en question étaient correctes et plus encore, élégante.
Il ne s’agissait donc pas d’erreur de la part de la rédaction du magazine Le Point et encore moins de l’auteur de ladite phase, Gabriel Matzneff.
L’écrivain s’adressait, entre autre, à Mazarine Pingeot qui, comme nombre de personnes, semblent incapables de percevoir comment l’on peut s’exprimer sur la Russie sans idolâtrer son président.
Ce qu’on peut lire de l’article, vu qu’il est réservé aux abonnés, ne manque pas d’intérêt:
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/gabriel-matzneff-mazarine-poutine-karamzine-25-01-2017-2099993_1885.php
le point
Il en faut peu à ce magazine pour exprimer toute l’estime qu’il voue à la Suisse et à son Président.
Il suffit d’une mise à jour de site non effectuée pour qu’un journaliste s’engouffre dans la brèche.
Cela s’appelle de l’information.
Alors que la presse internationale a été témoin de la présence du Président Didier Burkhlater à l’investiture du Président Petro Poroshenko, on lit dans cette publication du Point l’amnésie ou la mauvaise foi.
Mais si discréditer le Président suisse sert à d’autant créditer le Président ukrainien, on conçoit le niveau du choix éditorial opéré.
Car faille informatique ou non, c’est bel et bien la légitimité du Président ukrainien qui serait en cause selon le droit international.
Alors pour le chocolat et la comparaison évoquée dans l’article, reste à savoir qui sera chocolat ou pas au regard de l’Histoire.
http://www.lepoint.fr/monde/ukraine-la-gaffe-de-la-diplomatie-suisse-09-10-2014-1870649_24.php