Si la question a pu se poser du lien entre le bébé attendu par le couple présidentiel et la campagne qui, elle, l’attend pour 2012, voici la réponse du directeur du département opinion de l’Ifop, Frédéric Dabit:
http://actu.orange.fr/videos/un-bebe-pas-assez-pour-redor…
Que par ailleurs, la confirmation de grossesse annoncée juste après l’arrestation de Dominique Strauss-Kahn à New York ait inspiré quelque lien, peut-être faux, à établir entre ces deux destins de présidentiables, n’a pu être évité.
Pour mémoire, toutefois, sur le désir d’enfant à l’Elysée, on (re)lira cet article
http://www.lexpress.fr/styles/vip/carla-bruni-sarkozy-un-…
Politique française
Sur le même site, le ventre de Carla Bruni à Deauville http://www.rtl.be/people/album/66 rivalise avec la nouvelle geôle de Dominique Strauss-Kahn http://www.rtl.be/people/album/69 .
Images certes postées sur des sites classés « people ». Mais qui a dit que leurs visiteurs ne s’intéressaient pas ou plus à la vie politique?
Résumée ainsi, elle est aisée à commenter. Et elle fait même parfois ce qu’on appelle « L’Histoire ».
Poursuivi pour harcèlement sexuel par deux anciennes employées municipales de Draveil dans l’Essonne où Georges Tron est maire, ce dernier envisagerait de porter plainte contre dénonciation calomnieuse.
Après le carnet rose de l’UMP qui suivait les images d’un DSK menotté dans la nuit noire new-yorkaise, voici qu’une nouvelle page s’écrit en France mais dont Georges Tron se défend.
« Je ne suis pas naïf, on cherche à faire écho à une affaire qui se passe de l’autre côté de l’Atlantique… », s’exclame le secrétaire d’Etat à la Fonction publique:
http://www.france24.com/fr/20110525-georges-tron-vise-une…
http://www.leparisien.fr/faits-divers/georges-tron-soupco…
Les affaires se suivraient mais se ressembleraient-elles? L’une ne chassera pas l’autre et qu’y ajoutera-t-elle?
Peut-être la lassitude.
Badinter-Joffrin, échos médiatiques
Je reviens sur le sujet de mon blog, Robert Badinter pris à partie, http://billets.blog.tdg.ch/archive/2011/05/20/83a7a2288719b4ee6d3cd76aac834816.html tant le sujet a eu d’écho médiatique. Darius Rochebin, le 20 mai sur la TSR, y a fait allusion et montré quelques images dans son édition du 19:30. On en trouve davantage sur le site du Nouvel Observateur dont l’intitulé de l’article est sans ambiguïté: »Dsk, échange virulent entre Robert Badinter et Laurent Joffrin http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/l-affaire-dsk/20110520.OBS3597/dsk-echange-virulent-entre-robert-badinter-et-laurent-joffrin.html# Ce qui frappe est cette attaque soudaine et frontale de Robert Badinter par Laurent Joffrin, suivi par ses deux confrères qui prennent le relai pour y ajouter encore une charge avant la colère de Manuel Valls, non événement de l’avis de F.-O.Giesbert. La presse anglo-saxonne n’est pas en reste, elle non plus. Il faut lire la réponse que lui adresse le journaliste Jean Daniel: http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/opinion/20110520… Ces conflits sont instructifs à différents titres et seraient constructifs s’ils offraient l’occasion de prendre la mesure de chaque culture médiatique. Car visiblement, les habitudes diffèrent complètement d’un côté à l’autre de l’Atlantique. Pour l’instant, les critiques fusent de part et d’autre et s’échangent de manière rude et agressive. 00:30 Ecrit par Hélène Richard-Favre dans Cultures et medias | | Commentaires (5) |Trackbacks (0) | Envoyer cette note | Tags : presse, justice, politique, images. | del.icio.us | | Digg | Facebook
Robert Badinter pris à partie
L’ancien ministre de la Justice, Robert Badinter, qui dénonçait hier sur France Inter « une mise à mort médiatique » de Dominique Strauss-Kahn aux Etats-Unis, a su modifier son jugement le soir-même sur France 2, alors qu’il apprenait en même temps que David Pujadas et ses invités, la nouvelle de la libération sous caution de DSK.
Cette émission, en direct, a néanmoins vu Robert Badinter se faire violemment prendre à partie par Laurent Joffrin, de « Libération ». Sidéré par les propos du journaliste, Robert Badinter a répondu « Je rêve….. » mais non, Laurent Joffrin a martelé ses reproches à l’égard de l’ancien garde des sceaux qui, d’après lui, n’avait eu aucun mot pour la femme de chambre du Sofitel tandis qu’il ne parlait que de son ami DSK.
Passe d’armes ensuite entre un Badinter aussi ferme qu’ému et tranchant avant que Franz-Olivier Giesbert du « Point » et Ivan Rioufol du « Figaro », n’y ajoutent eux aussi leurs remarques peu complaisantes à l’égard de l’ancien ministre de la Justice.
C’est alors que Manuel Valls s’est imposé dans cet assaut en règle contre Robert Badinter pour laisser exploser une colère dont Franz-Olivier Giesbert n’a su que dire qu’elle était fausse.
Moment de télévision haut en couleur tandis qu’en direct de New York, les nouvelles interrompaient les débats pour rendre compte en différé, de l’audience où comparaissait DSK.
00:54 Écrit par Hélène Richard-Favre dans Politique française | Lien permanent | Commentaires (26) |Trackbacks (0) | Envoyer cette note | Tags : politique, dsk, justice | del.icio.us | | Digg | Facebook
La geôle de Dominique addict ou non au sexe, le vrentre arrondi de Carla, on note que les images varient de l’ombre à la lumière.
Ironie de l’Histoire, la vie annoncée à l’Elysée résonne comme en écho à la chute fracassante de DSK.
« Ailleurs »
Sur le blog: http://victordumitrescu.blog.tdg.ch/archive/2011/04/21/ma… où il était écrit -entre autre- que seule la candidature de Ségolène Royal permettrait au président de la république de passer le premier tour de l’élection, j’ai répondu que même si seule sa candidature permettait à Nicolas Sarkozy de passer, le fait est que la beauté et la séduction, non négligeables en tant que telles, ne suffisent pas pour gouverner. L’audience que remporte Marine Le Pen ou qu’a connue avant elle, Ségolène Royal, ne s’expliquent pas par leur seule aptitude à séduire. Elle trouvent leur sens ailleurs. Et c’est de cet « ailleurs » qu’il faudrait s’inquiéter. Savoir ce qu’il recouvre comme motivations ou autres revendications qui vont durer ou non, voilà ce qu’il serait aussi intéressant d’examiner. Ce lien http://bcove.me/kcvflfwy, où sont exposés deux points de vue de journalistes français, donne un aperçu de cet « ailleurs ». 01:05 Ecrit par Hélène Richard-Favre dans Politique française | Lien permanent | Commentaires (7) |Trackbacks (0) | Envoyer cette note | Tags : politique, élection française de 2012 | del.icio.us | | Digg | Facebook
Ils n’ont pas besoin de moi pour perdre, ils se débrouillent très bien, laissez-les faire, répond Dominique de Villepin à Olivier Mazerolle le 17 avril dernier sur BFMTV, tandis que le journaliste lui demande s’il n’a pas conscience qu’il peut faire perdre son camp.
« Mon camp », s‘interroge alors le Président de République Solidaire, non sans sourire ni se priver de faire remarquer qu’on le situerait plutôt à gauche, avec le projet qu’il vient de présenter.
Quant à l’UMP menacée d‘implosion, Dominique de Villepin ne manque pas de rappeler au journaliste qu’il y a plusieurs années déjà, dans une précédente interview, il l’avait prédit.
Ils n’ont pas besoin de moi pour perdre, ils se débrouillent très bien, laissez-les faire!
Cette réponse, même prise hors de son contexte, vaut qu’on s’y arrête. A chacun de la comprendre comme il l’entend.
Conspirateur de l’idéal, c’est ce titre qu’Olivier Mazerolle a choisi de donner à l’émission de BFMTV au cours de laquelle il interrogeait Dominique de Villepin, hier, 17 avril.
Dominique de Villepin fait alors remarquer au journaliste que celui-ci a sans doute dû s’inspirer de Clémenceau.
Olivier Mazerolle sourit, le Président de République Solidaire rectifie la formulation et rappelle que chez Clémenceau, c’est de soldat dont il est question…
A quoi Dominique de Villepin ajoute, Soldat me suffit.
Pour qui a envie de connaître le nom des parrains des candidats à l’élection présidentielle française, Rue89 publie le document fourni par le Conseil Constitutionnel:
http://www.rue89.com/rue89-presidentielle/2012/03/31/retr…