L’observation de règles morales fait-elle sinon est-elle une politique, cela se discute.
Souvent, morale et politique s’emmêlent. Surtout lorsqu’au nom de la première, on prétend se livrer à l’exercice de la seconde.
Or vertu et génie, en l’occurrence politique, ne vont pas de soi, c’est une évidence.
Se résoudre à l’exclusion de la première au profit du second fait rarement l’unanimité. Mais la morale que l’être intègre, le rend-elle à son image, pas toujours.
L’admettre éviterait-il ces empoignades de très mauvaise foi, visant à opposer la vertu des uns à la corruption des autres?