Dans une interview accordée au journal Le Monde, un épidémiologiste s’ébahit du fait « que les grands auteurs donnent l’impression d’avoir vu les causes de la violence avant que la science ne les prouve de façon rigoureuse. »
Ouah, quelle découverte!
Qui ne peut que confirmer la tendance qui se dessine et que voici résumée sur Europe 1.
Une science même plus « sans conscience ». Une science dont les tenants déconsidèrent à ce point leur langue que l’ensemble de ce qu’elle favorise comme élaboration n’a plus aucune pertinence.
Rappeler à cette communauté dite scientifique que l’approche sensible est une forme de génie que la maîtrise de la langue permet de transmettre serait-il déjà vain, poser la question risque d’y répondre.
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