L’humour dont on a pensé trop longtemps à tort qu’Oscar Wilde ou avant lui, Victor Hugo et après eux, Georges Duhamel, Boris Vian, Paul Valéry sinon Winston Churchill, auraient estimé qu’il était la politesse du désespoir, se décline selon différents critères, euphémisme s’il en est.
Voici que Charlie Hebdo a cru bon de traiter du récent séisme qui a endeuillé l’Italie.
Ce journal dit satirique n’en est, certes pas à son premier coup d’essai comme en avait témoigné, entre autre, un dessin dont il avait été question ici:
http://voix.blog.tdg.ch/archive/2015/11/06/charlie-hebdo-du-sacre-a-la-souillure.html
Si l’humour se décline de cette manière pour les tenants de la liberté d’expression, soit!
L’humour, politesse du désespoir est une citation de Chris Marker. En quoi l’approche de Charlie Hebdo la rejoint ou non n’est pas la question.
Pas davantage, sans doute, celle d’une équipe qui a inspiré une vague d’émotion à travers le monde tandis qu’une bonne part de sa rédaction -et plus encore- avait été décimée en janvier 2015.
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