Que nos médias soient capables d’aveuglement au point de blanchir un bataillon assassin en dit long, trop long même. Partout, Azov est célébré, blanchi de son passé et de son présent.
Mieux, ses membres sont des héros. On l’a lu dans les colonnes de notre grand quotidien genevois mais il est loin d’être le seul à célébrer cette « brigade »!
La grande victime de pareille propagande est l’Ukraine elle-même. Dévastée par sa confiance en des puissances étrangères qui l’ont assurée de leur aide.
Quel gâchis humain dont il est si facile de faire porter la responsabilité à la Russie qui l’a « envahie », bafouant en ceci les grands principes démocratiques dont l’Ukraine serait l’incarnation.
Cultiver la désinformation comme s’y emploient tant de nos « élites occidentales » a un prix et ce prix n’est pas encore arrêté. Je ne suis pas prophète, juste observatrice de faits dont nombre d’analystes font part.
Aucun d’entre eux, toutefois, n’est invité sur les plateaux de grandes chaînes de télévision ou de radio, aucun n’est interviewé par nos journalistes si objectifs qu’ils les ignorent.
Saluons, ici, Mediapart qui ose intituler un de ses articles « L’armée française entraîne des néonazi ukrainiens au combat »!