Comme illustré en capture d’écran ci-dessus, ainsi s’exprime cette femme dans le cadre du procès d’Harvey Weinstein.
La question reste posée de savoir si se mettre à plusieurs pour dénoncer en justice des comportements masculins abusifs y changera quoi que ce soit.
Rien ne l’assure.
Tout simplement parce qu’on se retrouve dans le fameux et sempiternel « parole contre parole ».
Car ce qui est à juger s’est le plus souvent déroulé dans le huis clos d’une intimité. Et le problème est bien là dans la plus grande partie des affaires sexuelles.
Chacun des protagonistes concernés y va de sa version mais surtout de sa manière d’avoir vécu l’acte incriminé.
Aussi, cette confrontation des paroles peut-elle rendre un mal ressenti plus douloureux encore si l’espoir a porté qu’il soit -enfin- reconnu voire guéri.
Et là, c’est vraiment la double peine qui tombe. Que faire, alors? Si la solution existait, cela se saurait depuis que l’homme et la femme existent!
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