Les spécialistes de toutes disciplines invités dans les médias de l’Hexagone nous expliquent comment Vladimir Poutine récupérerait l’attaque du 22 mars pour en rendre l’Ukraine responsable.
Alors que cela « n’a rien à voir » est le message à comprendre.
Mais quand le magazine français Le Point, cité dans le précédent sujet de ce blog, publie en novembre 2019 que l’Ukraine est devenue un « refuge inattendu des leaders de Daesch », que lire?
L’article, pardi! Et le confronter aux analyses expertes qui mobilisent les esprits de tant de nos médias! Et s’interroger sur la question de savoir qui dit vrai ou ment.
Le journaliste du Point? Le Président russe qui dit avoir arrêté des terroristes s’apprêtant à rejoindre l’Ukraine? Mais tant de conjectures sont faites qu’on a toutes les chances de s’égarer.
Et d’oublier ce sang versé depuis dix ans que se déchirent deux pays que rien ne devait rendre à ce point ennemis.
4 Comments
Il faudrait arrêter de parler de l’état islamique qui est un enfumage de première.
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Margarita Simonyan : « Nous connaissons déjà les noms des artistes. Nous avons déjà vu leurs visages et nous savons qu’ils chantent pendant les interrogatoires. (Nous ne le publions pas pour ne pas interférer avec l’enquête). Et tout de suite, on comprend pourquoi hier les médias américains criaient en chœur qu’il s’agissait d’ISIS. Car il ne s’agit pas d’ISIS. C’est juste que les interprètes sont choisis de manière à pouvoir convaincre la communauté mondiale abrutie qu’il s’agit d’ISIS. Un tour de passe-passe élémentaire. Le niveau du dé à coudre de la gare. C’est donc ça. Ce n’est pas du tout ISIS. Ce sont des Ukrainiens. Et le fait qu’hier, avant même les arrestations, avant les personnes et les noms des auteurs, les services spéciaux occidentaux ont commencé à convaincre la population qu’il s’agissait d’ISIS – et ont mis le feu au chapeau à ce voleur. Il ne s’agit pas d’ISIS. Il s’agit d’une équipe bien coordonnée de plusieurs autres abréviations, elles aussi largement connues. »
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Ca aurait pu marcher si les terroristes avaient pu rejoindre Kiev. Maintenant le narratif va s’effondrer sauf bien entendu pour les merdias qui font mine de s’étonner que Poutine n’ait pas évoqué l’état islamique.
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Et pour cause.
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En outre, dés le début de l’attaque, appels massifs en provenance d’Ukraine pour désorganiser les secours en lançant des alertes aux attentats fictifs un peu partout en Russie.
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En outre, réjouissances massives elles aussi sur les canaux Telegram ukrainiens dès le début de l’attaque terroriste, avant que ne soit donner la consigne de mettre une sourdine et d’effacer les messages. C’était trop voyant et trop tôt. Seulement voilà rien de ce qui est apparu ne peut être complètement effacé.
Daniel, j’ai lu cette déclaration de Margarita Simonyan. J’ai aussi trouvé de nombreuses informations intéressantes sur Twitter qui montrent comment certains de ces terroristes auraient été recrutés. Il n’en demeure pas moins intéressant de rappeler cet article du magazine « Le Point ». Car même s’il ne s’agit pas de membres du groupe Etat islamique, les terroristes semblent avoir reçu bon accueil en Ukraine.
Oui, et c’est connu depuis au moins 2014.
https://reseauinternational.net/donc-letat-islamique-est-present-en-ukraine-depuis-2015-nous-avons-de-droles-damis-lamerique-en-aurait-perdu-le-controle/
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Sauf que les merdias sont en train de marteler état islamique, état islamique, état islamique dans le but de dédouaner l’ukraine, la cia et le mi6 (seuls les organisateurs de l’attentat pouvaient être au courant avant). Les terroristes arrêtés ne sont pas des islamistes, ils ont agi pour le fric et le plan était de les exfiltrer vers l’ukraine, ce qui aurait rendu très difficile voire impossible de contrer ou nier leur appartenance à l’état islamique. Mais voilà, ils ont été arrêtés à 100 km de la frontière ukrainienne (où ils auraient été sans doute liquidés). Le plan des urkonazis et des otaniens a foiré. Et ils vont chanter comme les oiseaux au moment des amours. Des islamistes seraient restés sur place sans se préoccuper de leurs vies, pour faire encore plus de victimes.
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L’un des terroriste a été vu au Crocus le 7 mars et photographié. Quelque chose a foiré pour le 9 mars (soit AVANT l’élection présidentielle) et l’attentat a dû être reporté. Puis c’est le plan B ou C.
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Maintenant il reste une question. Comment se fait-il que le toit – si ce n’est toute la structure – se soit effondrée sous l’incendie? Les concepteurs, architectes et maîtres d’oeuvre devraient avoir du souci à se faire. De même que ceux qui ont verrouillé les portes de secours.
Ce qu’on comprend avec cette mention du Point de 2019, c’est qu’à l’époque l’Ukraine était reconnue par le mainstream pour ce qu’elle est, à savoir une République bananière (au moins)! Mais c’était avant qu’Oncle Sam ne la sanctifie pour les besoins de sa guerre contre la Russie!