Quand, soudain, Raman Kadyrov devient une référence, c’est à signaler, tandis qu’il passe plutôt pour un persécuteur de la communauté homosexuelle de son pays…
Que ne trouve-t-on pour appuyer des thèses qui tiennent tant à coeur. Voici qu’on se mobilise, qu’on informe sur le sort des Rohingyas dont on s’émeut du génocide qui serait en cours.
Rien à dire, sur le plan humain, toute action en faveur de droits bafoués est digne d’être menée.
Dans ce cas, ce n’est pas elle qui est discutée, ici. Mais la manière très choisie de se dresser comme pas un pour en parler quand tant d’autres sont passées sous silence.
Bien sûr que l’antienne est connue, on ne peut pas prendre sur soi le sort du monde entier. Dans ce cas, disons-le au lieu de sans cesse trier qui a droit à l’information et pas. Au moins, ainsi, les choses et les partis pris seront exposés de manière claire et sans ambiguïté.
Parce que de génocide, il a aussi été question ici mais, semble-t-il, avec un moindre souci de ladite communauté internationale.
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