L’information relative à l’aide humanitaire apportée par la France à la Syrie et acheminée par l’aviation russe a fait réagir « Daniel », commentateur de mon précédent sujet de blog.
Si l’information ne m’avait pas échappé, avant d’en tirer quelque conclusion que ce soit, d’autres éléments seraient à trouver en faveur de l’hypothèse selon laquelle cette attitude expliquerait le revirement très soudain sinon inattendu de tant de ces médias qui ont, jusque là soutenu l’ancien candidat En Marche.
Car, comme je l’ai indiqué dans mon propos d’hier, si la question reste posée de savoir pourquoi tous ses soutiens mettent à mal leur protégé par la divulgation de l’affaire dite Benalla, aucune réponse claire, pour l’heure ne peut être apportée.
Des éléments devraient être trouvés qui rendent indiscutable ce lien établi par d’aucuns entre cause et effets.
Or espérer apprendre de source sûre ce qui a motivé cette divulgation médiatique d’une affaire qui, comme tant d’autres, aurait tout aussi bien pu rester inaccessible au grand public, risque fort de ressembler à une mission impossible.
Car créer une affaire dans l’affaire et de nouvelles affaires dans ladite affaire -créée dans l’affaire dite Benalla- contribuera sans doute à la diluer de telle sorte qu’on l’oublie ou qu’on s’y perde, tout fil d’Ariane n’étant pas à disposition de chacune et de chacun.
Et le serait-il, ce fil à disposition, que de le couper reste toujours possible.
damas
Ca valait tout de même la peine, avouez, de dénoncer les mensonges de l’Eglise et de créer des Etats de droit qui ne soit plus d’ordre divin. Le résultat se connaît.
Dégagés des chaînes d’un christianisme abusif et corrompu, nous évoluons enfin dans un milieu sain, dénué de tout mensonge et de toute perversion.
La preuve, nous avons su porter au pouvoir des personnes honnêtes, fiables et désintéressées tandis que, jusque là, nous dépendions d’autorités qui osaient se réclamer d’un Dieu et de son Fils auto-proclamé au nom duquel tant d’abus ont été commis.
Ouf! Tout cela n’est plus que passé mortifère tandis que règne le droit. Finie cette main de Dieu qui viendrait se mêler de ce qui ne la concerne pas.
Regardez, par exemple, toutes les guerres menées par nos démocraties laïques l’ont été pour de nobles causes! Pensez donc, combien de tyrans, de dictateurs et autres dirigeants sanguinaires n’ont-elles su détruire?
Et si, autrefois, nos attaques se réclamaient de la chirurgie, tel n’est plus le cas de nos jours. Non, désormais, cela a été dit dans le cadre d’une émission télévisée française, les frappes se mènent au nom de la politique et de la diplomatie.
Et n’en doutez surtout pas car on vous assure avoir disposé de preuves sans la moindre preuve qu’elles en soient mais avec toutes les chances qu’elles soient susceptibles d’en être.
Alors ne chipotez pas!
A moins de souhaiter faire le jeu du Kremlin car on sait bien que la Russie s’occupe de tout, veut tout contrôler et surtout, diviser les Occidentaux.
En résumé?
Ne doutez pas comme cela semble être le cas de nombre d’entre vous. Faites confiance, vos élus veillent…
Si vous voulez comprendre ce qui se passe en Syrie, vous aurez droit à à peu près tout et son contraire.
Tout le monde sauve la face, on a un peu l’impression que tout le monde est content, dit le correspondant de la RTS aux Etats-Unis. On voit que la Russie s’oriente plutôt vers une riposte dans le domaine de l’information, de la propagande (sic) explique sa correspondante à Moscou.
Sur France5, les invités de l’émission C dans l’air mènent un débat qui ne manque pas d’intérêt. Mais y apprendre, par exemple, que l’attaque menée dans la nuit de ces 13 au 14 avril contre un Etat souverain n’est pas qualifiée de militaire mais de politique, voire de diplomatique a de quoi laisser perplexe.
En effet, depuis quand la diplomatie passerait-elle par des frappes, qui plus est, illégales selon l’ONU comme ont tout de même dû l’admettre les interlocuteurs de l’émission suite à une question d’internaute qui leur a été posée?
Pour le reste, sur les réseaux sociaux, faire part de ses émotions et s’adonner à toutes sortes d’interprétations est humain mais face à tant d’inconnues et, surtout, à tant d’informations contradictoires, on ne peut que conjecturer sinon rester sur la réserve.
Cette femme est ministre, elle se pique de culture et n’hésite pas à le faire savoir.
En dépit des gesticulations déclamatoires de la ministre de la Justice, le combat mené pour le mariage pour tous n’a rien de socio-politique.
Car en aucun cas les homosexuels ni les hétérosexuels ne constituent de classes distinctes et encore moins en lutte les unes avec les autres.
Ainsi, toutes les pirouettes linguistiques inventées autour du genre, dont celle du mariage pour tous, ne contribuent-elles qu’à brouiller le sens commun.
Quant au poète, tout parlementaire qu’il ait été comme le rappelle Christiane Taubira, que son combat lui reste et lui appartienne!
Et non, Monsieur Bartolone, ne vous égarez pas, la justice n’a pas rencontré ici la poésie.
Mais la défense d’une cause, la disgrâce d’une autre.
http://www.youtube.com/watch?v=QtgC3LLCJzI
http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on-Gontran_Damas
Que lire sur cette photo? Le sort d’une petite fille au hasard des rues? Non. Cette image a été prise par un photographe syrien de 27 ans, Wasim Kheir Beik, lauréat du Prix de la meilleure photo de presse arabe 2007, attribué par l’Union des Agences Arabes à l’agence de presse syrienne SANA. Et sur le site, alterinfo/ Education et travail*, on découvre le message qu’a voulu faire passer ce jeune homme: Je veux démontrer qu’un être humain peut vaincre la pauvreté grâce à la volonté et au travail. Idéaliste ou non, l’appel est net. Cinq ans après que cette photo a été prise dans les rues de Damas, qui serait en mesure de savoir ce que sont devenus la volonté et le travail de cet enfant pour vaincre sa pauvreté? * http://www.alterinfo.net/Education-et-travail-une-photo-primee-du-photographe-de-presse-syrien-Wasim-Kheir-Beik_a14901.html