Les enfants, ici commémorés pour avoir été tués, les enfants, là non désirés et accompagnés de doléances sur la difficulté de faire valoir les droits à leur suppression, ainsi va le monde.
Comparaison n’est pas raison et de comparaison, d’ailleurs, il n’est pas question mais d’aperçus relatifs à des actualités diverses.
Le droit à la vie, à la mort ou à tout ce que les sociétés qui en proposent et en revendiquent, lorsqu’il est confronté à la réalité, c’est tout une histoire, on le sait bien.
Preuve en sont les témoignages ci-dessus évoqués par Franceinfo en relation avec la difficulté de les faire valoir pour avorter.
Quant au droit de tuer des enfants par les armes, il nous est souvent rappelé par nos médias.
Ce fléau ne peut demeurer sélectif dans son évocation tandis qu’il touche autant de régions du monde où sévit toujours la guerre.
Tel est le cas du Donbass, dans le Sud-Est de l’Ukraine et dont il a été à de très nombreuses reprises question sur ce blog.
Etre
Bien conscient qu’il avait pris en otage celles et ceux qui l’avaient élu sur son célèbre discours du Bourget dans lequel il avait désigné qui était son adversaire, le monde de la finance pour qui l’aurait oublié, conscient donc qu’il n’avait, en définitive, qu’usurpé la confiance de son électorat pour briguer l’Elysée, une fois sa trahison découverte, le président qu’il était devenu ignorait peut-être la descente aux enfers qui l’attendait.
Car avec l’entrée d’Emmanuel Macron au gouvernement, le piège se tendait peu à peu, qui risquait de se refermer sur François Hollande.
Alors, se prêter à l’exercice de la confidence auprès de journalistes qui en ont rendu compte dans un ouvrage qui a tant fait parler de lui, comment le comprendre sinon comme le fait d’une personne qui n’aurait plus rien à perdre?
Avec un peu de recul, on peut se demander si cet homme n’a tout simplement pas oeuvré à sa seule victoire pour parvenir à l’Elysée et à la destruction de son propre parti sinon bien davantage encore.
Les conséquences de cette attitude, la France n’a pas encore fini de les subir…
Une grande figure de la vie politique française, mais bien plus que cela encore, nous a quittés, ce vendredi 30 juin.
Simone Veil, chacune et chacun en retiendra ce qui lui chaut et il ne s’agit pas, là, de dresser quelque panégyrique que ce soit.
On sait la propension humaine à ne plus trouver au défunt que des qualités. On sait aussi l’empressement d’esprits moins conciliants à noircir le tableau.
Le départ d’un être qui a marqué laisse rarement indifférent, sinon quelques blasés ou revenus de tout. Il en est, bien leur en prenne.
En octobre 2014, Laurent Delahousse avait consacré un magazine à Simone Veil qui sera rediffusé ce soir, sur France 2 à 20:55.
Hommage soit rendu, ici, à une femme au destin d’exception.
Ce sujet ci-dessous a été publié le il y a près de deux ans, le 29 septembre 2014, plus précisément.
Depuis, les décapitations se sont suivies et la France en a connu deux sur son sol.
Ainsi, lors de la table ronde dont le lien figure en bleu ci-dessus, a-t-il été tenté d’aborder une thématique dont on ne peut faire l’impasse.
En ces temps où l’on décapite à tout va, où l’on évoque sans vouloir le nommer un « Etat Islamique », bien des questions se posent.
Les réponses à leur donner divergent et restent pour l’heure difficiles à cerner.
Que nous le voulions ou non, nous sommes projetés dans des conflits alimentés par le fanatisme religieux.
Daesh ou pas Daesh, on tue car on s’y déclare autorisé.
En 2006 paraissait un film intitulé l’Odyssée de la vie:
Repris ensuite, en extraits, par de nombreux sites et autres blogs, tous sont commentés selon l’orientation voulue:
https://lacourderecre.wordpress.com/2010/05/
http://neige-cesmede-58.eklablog.com/gestation-en-3d-a118994172
https://www.infochretienne.com/in-utero-cette-video-va-vous-laisser-sans-voix/
Nombreuses sont les questions qui surgissent face à autant de récits sur la conception de la vie humaine.
Le fait est que les conditions qui président à la conception d’un enfant accompagnent bel et bien son patrimoine génétique.
Que l’on se réclame de quelque approche spirituelle qui soit ou d’aucune, que l’on pratique une religion quelconque, la conception de la vie humaine implique l’avenir de l’enfant.
Evidence, certes, mais source de tant de conflits que la vie conçue telle une merveille a tôt fait de se muer en cauchemar.
Je tiens à remercier les journalistes qui ont su prêter attention à la soirée caritative en faveur des enfants du Donbass qui aura lieu ce 23 janvier à Genève.
Il m’importe, ici, de signaler l’intérêt qu’ils ont montré à cet événement alors que souvent j’ai partagé avec eux les points de vue exposés sur ce blog.
Leur réaction indique, non seulement que le dialogue reste possible mais surtout, que l’intelligence et le coeur y ont leur place.
Merci à eux.
Réglée en trois jours, voici qu’une affaire jugée en appel à Genève laisse certains dubitatifs sinon stupéfaits.
Accusé d’avoir ouvert le feu sur dix détenus d’une prison du Guatemala alors qu’il était chef des forces de l’ordre de ce pays, l’homme a été jugé à Genève car il était venu s’y installer du fait de sa double nationalité suisse et guatémaltèque.
Sans entrer dans les détails de ce dossier dont plusieurs irrégularités ont été dénoncées par la défense et continuent de la scandaliser, on retiendra les mots du procureur.
Celui-ci, en effet, a tenu à rappeler que Genève n’était pas un repère pour les criminels.
On est bien heureux de l’apprendre.
Reste encore à définir le statut de criminel.
Jusqu’à quand va-t-il falloir lire des Je suis…?
Je suis…a été soudain Charlie.
Très vite, Je suis… est devenu l’emblème brandi après chaque carnage d’êtres humains.
Accepter le fait que l’homme ne soit pas un agneau pour l’homme semble à l’évidence impossible à tous ces Je suis…
Et pourtant, les massacres se poursuivent et leurs auteurs voient défiler tous ces Je suis…
Armés d’un verbe conjugué à la première personne du singulier de l’indicatif présent, ces Je suis…pensent ainsi refuser la terreur.
Les mots, certes, sont dotés de pouvoir.
Les élus de tous bords l’ont bien compris qui les ont, eux aussi, arborés dans les rues de Paris, en janvier 2015.
Le carnage qui s’est déroulé au siège de Charlie Hebdo n’a pas atteint que « la liberté d’expression ».
La fusillade a bousillé des vies consacrées à la défense du citoyen français.
Ahmed Merabet et Franck Brinsolaro étaient policiers, tous deux ont été tués pour avoir été au service de la France.
A l’heure où tant de monde, de par la planète, s’identifie à Charlie, inscrit en caractères blancs sur fond noir, un autre prénom est brièvement apparu lors du Journal Télévisé de France 2, ce 8 janvier.
Sur une pancarte, en effet, on a pu lire le prénom de l’un des des deux policiers morts dans la tuerie du 7 janvier à Paris.
Pour rappel, la « liberté d’expression » de Charlie Hebdo a été protégée.
Et c’est en son nom que sont morts deux policiers.
Hommage leur soit rendu ici, à eux et aux leurs.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/01/08/01016-20150108ARTFIG00197-ahmed-merabet-policier-froidement-acheve-au-sol-et-frank-brinsolaro-tue-au-cote-de-charb-qu-il-protegeait.php
Ceci n’est pas un conte de Noël, avec tout le respect que l’on peut avoir pour ces récits.
Ceci est une histoire vraie, rapportée par différents grands quotidiens britanniques et largement relayée ensuite.
La scène se passe de nuit.
Une étudiante de 22 ans s’apprêtait à rentrer chez elle en taxi et constate qu’elle a perdu sa carte bancaire.
Pour lui venir en aide et lui assurer un retour sans risque, un SDF lui a offert les 3 livres sterling qui lui restaient.
Elle a refusé.
Cependant, si émue par le geste de cet homme, la jeune fille s’est mobilisée pour le retrouver et en même temps, a organisé une levée de fonds pour le remercier.
Elle a demandé à chacun de verser les mêmes 3 livres sterling que lui avait offertes le SDF et a récolté plus de 30.000 livres sterling.
http://gogetfunding.com/project/help-robbie-preston-s-homeless-hero
Voici une histoire qui tranche avec celle qui a mobilisé l’actualité des ces derniers jours à Angoulême.