Selon le grand quotidien russe Izvestia de ce 29 novembre dernier, la Russie s’apprêterait à réduire le nombre et les pouvoirs d’observateurs occidentaux dans le cadre des élections présidentielles de 2018.
Les Etats-Unis n’autorisent ni les observateurs russes ni les autres observateurs à assister aux élections présidentielles et législatives. Avec toute notre ouverture et notre volonté de coopération internationale, ne nous laissons pas emporter à inviter ceux qui sont déjà du matin au soir, sans interruption pour le déjeuner, à pénétrer dans nos affaires intérieures, a déclaré le sénateur Andreï Klimov.
Sur son blog, la juriste Karine Bechet-Golovko explique comment a évolué ce mécanisme d’observation des processus électoraux dont la première apparition date de 1857.
Autant dire que dans pareil contexte où la Russie est sans cesse montrée du doigt, sa réaction se conçoit.
Il y a longtemps qu’ici, j’ai tenté de faire comprendre qu’à force de provoquer ce pays, l’Occident aurait la réponse.
Mais il est vrai que, pour autant d’esprits avisés, toute personne qui ose se démarquer du discours qui tend le plus souvent à disqualifier la Russie, ce qu’elle observe ne peut résonner que comme seul écho du Kremlin.
Qu’à cela ne tienne, la Russie vivra et nos penseurs émérites auront, quoi qu’il en soit, matière à dire et à redire…
grande-bretagne
Femmes européennes, devons-nous trembler comme l’indique le titre d’un article du site Boulevard Voltaire?
http://www.bvoltaire.fr/emmanuellefrankl/femmes-europeennes-tremblez-votre-avenir-nest-pas-rose,259858?utm_medium=twitter&utm_source=twitterfeed
Celui-ci s’inspire d’un article du Figaro:
http://www.lefigaro.fr/international/2016/05/27/01003-20160527ARTFIG00231-gb-enquete-sur-les-tribunaux-islamiques-clandestins.php
A lire ce qui a été publié le 27 mai dernier sur le site du grand quotidien français, on comprend que le sujet soit sensible.
On comprend aussi que la manière d’en traiter suscite diverses lectures.
Le fait est que la présence de tribunaux islamiques clandestins en Grande-Bretagne n’est pas une nouveauté et avait déjà été signalé ici ou là.
Qu’une enquête soit menée ne présage d’aucune issue certaine.
De là à prévenir les femmes européennes, il y a un pas que Boulevard Voltaire n’a pas hésité à franchir.
A raison ou à tort, l’avenir devrait le dire à défaut du présent…