Un article de la Tribune de Genève évoque la réaction d’un habitant, surpris par le clitoris géant érigé tel un « château gonflable » et invité d’honneur des célébrations de la Fête nationale suisse.
La Maire de la ville, apprend-on, soucieuse des questions de genre aurait tenu à mettre en valeur cette partie de l’anatomie féminine.
Soit.
Et que pense-t-elle de l’accueil réservé par cette même ville à autant de touristes issus de pays qui ont une autre conception de cette partie de l’anatomie féminine montée en « château gonflable »?
Que l’argent n’ait pas d’odeur, le proverbe nous l’a enseigné. Que cela se démontre dans cette Genève des droits humains n’est plus à prouver.
Pour rappel, ce sujet publié ici même et pas plus tard qu’hier évoque comment un grand pays occidental a réagi face à l’excision du clitoris et au crime d’honneur.
A méditer sous la voûte du « château gonflable »…