Dans la situation que nous vivons en relation avec le Covid-19, la politique a résolument pris le pas sur toute autre considération.
Aussi et comme toujours, n’aura-t-on que les traitements admis par tel ou tel pouvoir qui aura imposé sa conception du mal.
Tel protocole sera donc adopté par tel gouvernement à l’exclusion de tout autre. Sauf que la colère gronde. Car pour lutter contre un mal, ce sont de nombreux autres qui ont été générés.
Le confinement imposé a mis quantité d’entreprises à terre et créé une misère non seulement économique mais sociale et psychique aussi.
Comme toujours, un mal est exploité par qui y trouve son intérêt, rien de nouveau sous le soleil. Se résigner à ce genre de constat relève, au mieux de la sagesse, au pis, du fatalisme.
Que cela aide ou non, à chacune et à chacun de l’envisager comme elle et il l’entend.
Il n’en demeure pas moins que la lutte qui s’est assez vite engagée en relation avec le Covid-19 a tout autant tourné autour de la question de son origine que de sa médicamentation.
Et alors, tout y a passé. Les forces du mal se seraient liguées pour réduire la population, entre autre, et en prendre le contrôle.
C’est dans ce sens que s’est exprimé un ancien officier du renseignement russe, Vladimir Vassilievitch Kvachkov dont les propos ont d’abord été supprimés de youtube pour y réapparaître ensuite.
Ce qu’en pense le Kremlin, le sait-on seulement?