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licenciements

Economie, Politique, société

Lendemains électoraux et autres licenciements chez General Electric

En parcourant mon fil d’actualité Facebook -dont on pensera ce qu’on veut, sachant que le réseau peut tout aussi bien vous bloquer que vous rappeler quelques heureux moments partagés- j’ai trouvé, hier, différents posts que je souhaite porter à votre attention.
D’abord, ce cri du coeur de Djordje Kuzmanovic en relation avec la suppression de 1’000 emplois en France par General Electric. L’auteur du propos conclut ainsi: « On trouvera le terme « traître à la Nation » trop fort ? Non, « le courage c’est de chercher la vérité et de la dire ! » déclarait Jean Jaurès.
Ensuite, cette approche de Jean-Robert Raviot après le résultat des élections européennes de ce 26 mai dernier. La lire en dit long sur le rapport de force actuel de la France.
Ces deux personnalités de la vie universitaire et politique française que je cite apportent un éclairage de valeur dans un contexte où le combat politique se joue de manière qui n’a plus rien à voir avec l’affrontement gauche-droite.
Je l’ai relevé ici, je le maintiens.

Economie, Politique

Rideau!

Après l’annonce de la disparition d’un grand titre de la presse suisse française et de la menace qui pèse sur un de ses quotidiens autrefois de référence, Le Temps pour ne pas le nommer, l’émotion est réelle.
Cela dit et au-delà de l’empathie que l’on ressent pour autant de personnes qui ont oeuvré au plus près de leur conscience, la question des critères de licenciements se pose.
Ici, apparemment, rien de politique dans le choix opéré par le groupe propriétaire des deux titres dont parle cet article
Ce n’est pas comme ailleurs, dans autant de pays dont on ne cesse de nous rappeler combien ils se mêlent de tuer toute liberté d’expression.
Pis et comme le laisse entendre l’image qui illustre ce sujet, quand le gouvernement de tels pays s’ingère dans les affaires d’autres.
Ce dessin, d’une rare doigté, est signé d’un grand nom du journal Le Temps, visé par les mesures de réduction de personnel.
Monsieur Chapatte, si sensible à ce qui se passe sur la scène internationale, saura peut-être donner un même éclat à la fin de partie qui se joue tout près de chez lui pour autant de ses collègues.

Politique

La rue et la mort

Sur mon blog http://voix.blog.tdg.ch/, un commentaire a été déposé par Philippe Brennetot, qui se conclut par des terme qui choquent. Dans quel monde sommes nous ?Quand un jour la vie bascule… On compte de 85 000 à 100 000 SDF en France. La rue devient le couloir de la mort. La mort qui sévit dans la rue n’est pas toujours celle de faits d’armes ou d’agressions. Lorsque le crime en est absent, c’est que le mal y est plus diffus. Personne n’est à l’abri du pouvoir qui s’exerce soudain sur lui et le projette nulle part. Et ce triste trajet qui finit dans la rue est silencieux et sans éclat. On en parle, certes et bien des associations ou autres fondations y réagissent. Mais que de dégâts et de ravages causés par ces licenciements et ces abus qui condamnent au déclin de la personne! La rue n’est pas une fin en soi mais quand rien ne permet plus d’y échapper, la mort qui s’y installe est aussi condamnable que celle qui se trouve à portée de fusil ou d’arme blanche.     14:53 Ecrit par Hélène Richard-Favre dans Actualités, Existence, Pouvoirs | Lien permanent |Commentaires (0) | Trackbacks (0) | Envoyer cette note | Tags : sdf, associations, fondation abbé pierre,rue, mort, sans toit, licenciements abusifs |  del.icio.us |  |  Digg |  Facebook