Voici une réaction qui fait du bien à la politique. Il s’agit de ce qu’a déclaré Pierre-Yves Maillard, personnalité charismatique du PS.
Il s’est exprimé au sujet de Géraldine Savary. Il se dit «triste» et trouve cette «issue injuste».
«Le prix à payer à cause du harcèlement médiatique et de certaines critiques internes est disproportionné. Quand c’est la sincérité d’un engagement qui est mis en cause, cela fait mal aux personnes sincères, pas aux cyniques», a-t-il expliqué.
Comme il a raison! Et comme on a envie de redire combien cette décision prise par Géraldine Savary est, certes, la sienne mais sonne de manière douloureuse à certaines oreilles.
Je me suis exprimée, à cet égard.
Oui, Monsieur Maillard, il y a une injustice à cette issue, comme vous l’avez dit. Lire la lettre adressée par Ada Marra à Géraldine Savary n’y change rien sinon que le qualificatif par lequel la politicienne vaudoise qualifie son « amie » est à retenir.
« Libre », écrit-elle à son sujet. Oui, si libre qu’elle laisse la voie libre, elle aussi, à son parti.
Pour quelle suite?
Politique, société