« Abandonner la petite et facile critique des défauts pour la grande et féconde critique des beautés ». C’est à François-René de Chateaubriand -dont la tombe figure en illustration de ce sujet- que l’on doit cette citation.
En ces temps de crise liée au coronavirus, pas un jour ne passe sans que ne fleurissent, sur les réseaux sociaux, autant de remarques émises par de (très) savantes personnes qui, elles, ne s’y laisseraient pas prendre.
A quoi?
Au piège dans lequel nos gouvernant(e)s voudraient nous entraîner si ce n’est déjà fait. Oui, parce que nous serions manipulé(e)s. Et pour qui ne l’aurait pas encore réalisé, il serait grand temps d’ouvrir les yeux.
Sur quoi, au juste?
L’abus, la prise en otage, le profit, la mise en place d’un monde on-ne-vous-dit-pas-lequel et j’en passe.
Pendant ce temps-là, des gestes admirables de grandeur entourent autant de maux causés par un virus contre lequel luttent en permanence des êtres au mieux et au plus profond d’elles-mêmes et d’eux-mêmes.
Qu’ils en soient honorés, qu’à jamais, leurs efforts soient gravés dans les mémoires!