Nous vivrions dans des démocraties.
Enfin, c’est ce qui nous est répété tandis que sont pointés du doigt autant de « régimes » qualifiés au mieux d’autoritaires, sinon, de dictatoriaux.
Parmi eux figurent souvent en bonne place, des pays dont on dit que la censure y sévirait.
Et de citer ces personnalités qui, pour avoir osé s’exprimer, se retrouvent aussitôt derrière des barreaux quand leur vie ne leur est pas soudain prise par telle ou telle mort (in)expliquée.
Tout cela est bien connu, sans cesse rappelé à longueur de colonnes de journaux, d’ondes radiophoniques ou de plateaux de télévisions par les incontournables chantres des « droits humains ».
Mais en quoi consiste donc notre liberté à nous, chérie et tant défendue? D’avoir tout simplement droit à une parole ailleurs interdite?
Non, bien davantage! A vivre comme on l’entend, est-il souvent rétorqué.
En effet, crise du Covid-19 oblige, jamais la dépendance à un pays qualifié de « dictature » n’aura si bien été révélée.
Avec ses carences en matériel apte à permettre de surmonter ce fléau qui a paralysé ce que d’aucuns s’ingénient à appeler « le monde d’avant », c’est un monde de prisonniers qui aura été découvert.
Un univers concentrationnaire dans lequel chacune et chacun était convaincu(e)d’être libre…