C’est la Tribune de Genève qui le révèle, ce qui ôte de facto du grain à moudre aux xénophobes ou autres nationalistes convaincus.
Cela dit, on se rappelle l’intervention d’une élue helvète qui avait estimé que « LA » Suisse n’existait pas. Il en avait été question ici. Dans ce cas, l’agresseur serait-il originaire d’un pays qui n’existe pas?
Pour l’heure et quoi qu’il en soit, l’homme est sous les verrous.
La violence qui s’exerce non seulement envers les femmes mais envers toute personne est une réalité.
A ce jour, aucune réponse idéale n’existe, nul ne l’ignore. Chacune et chacun y va de sa solution, de la plus radicale à la plus laxiste.
Est-ce là une raison de baisser les bras, bien sûr que non. Mais rien ne va de soi, sachant ce qu’implique toute modification de loi.
En attendant, on se réunit, on discute, dans le cadre de colloques ou autres réunions en tous genres.
Autant d’occasions d’exposer des points de vue qui déboucheront on non sur quelques nouvelles mesures à prendre, que « LA » Suisse existe ou pas.
Sécurité
A quand, une manifestation de SolidaritéS ou de tout autre parti politique en soutien à ce policier agressé et dans le coma?
Les femmes seules ne sont pas victimes de violence.
Toute personne qui s’oppose à la brutalité de fous furieux s’y expose. En l’occurrence, les fonctionnaires au service de l’ordre public.
Lisez cet article dont l’ensemble pourrait être cité ici et vous réaliserez comment la situation évolue non seulement à Genève mais en Suisse, ce pays que certains considèrent encore comme idyllique.
Il l’est peut-être, vu sous un certain angle. Lequel, cela reste à définir.
En attendant, il ne semble plus vraiment se distinguer d’autres qui dressent le même constat que celui énoncé dans l’article.
A l’absence de toute considération apportée à la fonction de policier, s’ajoute le manque de moyens mis en oeuvre pour l’exercer.
Autrement dit, à chacune et à chacun de s’arranger avec ce dont il dispose et adieu va!
Voici un article suivi de commentaires qui soulèvent quelques réflexions. Il y est question de russophobie envisagée dune manière qui fait réagir certains internautes.
En réalité, c’est le terme employé par l’auteur de l’article pour qualifier ladite russophobie qui lui vaut quelques piqures de rappel.
Car celles et ceux qui ont connu les Russes comme ennemis, peinent à considérer que leur haine à leur égard ne soit que pavlovienne comme cherche à le faire entendre Joachim Imad dans le point de vue qu’il propose.
Et en effet, à écouter parler nombre de personnes qui ont eu affaire à la Russie soviétique, force est de constater que leur ressentiment à son égard -et c’est peu dire- est loin d’être éteint.
Mais l’auteur de l’article ne vise pas forcément ni à tout prix à faire aimer la Russie.
Non, il veut entre autre démontrer la malhonnêteté et le danger qu’il y a dans le deux poids-deux mesures d’informations qui se concentrent sur un pays aux dépends d’autres dont il y aurait beaucoup à dire sinon à redire.
Et dans ce sens, il va de soi qu’il se heurte à forte partie.
Car rien ne semble pouvoir enrayer la volonté manifeste de rendre la Russie responsable de tous les maux possibles et imaginables. Combien de fois cela n’a-t-il été relevé ici!
Ce qui ne revient pas à idéaliser un pays, son Président et encore moins à en être le relai. Mais juste à déplorer la quantité de moyens mis en oeuvre pour désinformer dans le seul but de discréditer.
Et si ce mode d’action sur l’opinion publique a je ne sais combien de fois pu être imputé à l’ex-URSS, comme cela a été énoncé ici, nos démocraties occidentales ne sont plus très loin de la rejoindre dans la méthode.
Voici un cas typique en voie d’être récupéré par tous les bords politiques confondus.
A Genève, cinq femmes ont été violemment agressées, ce mercredi 8 août aux aurores, à la sortie d’une boîte de nuit. Le peu que l’on sait des faits est grave, l’une des victimes est dans le coma.
On apprend, à la lecture de ce qui en est rapporté dans l’édition papier de la Tribune de Genève du 9 août, que la scène a été filmée, que la première femme qui s’est fait tabasser était accompagnée d’un ami et que quatre femmes venues porter secours à la victime ont subi le même sort qu’elle.
A savoir, coups de poing, coups de pied et, indice ou non, coups de béquille.
Aussitôt, une manifestation a été organisée en soutien aux cinq femmes. Il est, certes, beau d’exprimer sa solidarité tant les faits choquent. Cela dit, à entendre ce qui a été rapporté ici des propos tenus lors de ce rassemblement, on reste un peu perplexe.
D’abord, parce que réclamer que les femmes puissent se promener dans la rue comme il leur sied à toute heure du jour et de la nuit ne va sans doute pas intimider qui veut en découdre, ensuite, parce que seules les femmes ne tombent pas sous les coups de leurs agresseurs, enfin, parce que l’on ignore tout de ce qui a déclenché cette scène de violence.
Car parmi le nombre d’éléments que l’on ignore, figurent aussi les raisons du silence qui entoure l’homme qui accompagnait la femme battue. Autant dire que face à tant de mystères, ne restent que les yeux pour pleurer et la réserve à garder tant nous ne connaissons, de la situation, que le tragique et sinistre résultat.
Qu’il soit à imputer aux racailles venues d’hors les frontières ou aux nouveaux arrivés dits migrants, cela ne manque pas non plus d’être évoqué par qui guette toute occasion pour faire valoir ses visions politiques. Aussi, avant de brandir telle ou telle cause à défendre, féministe ou anti-migratoire, penser aux seules victimes de toute forme de violence serait déjà bienvenu.
En pensée avec ces femmes, leurs proches et leurs familles.
Voilà, on y arrive, enfin!
L’affaire Benalla a bénéficié d’envois massifs de tweets qui l’ont gonflée. Et au hasard, devinez qui détient une grande partie des comptes Twitter à l’origine de ces envois?
Nombre de russophiles.
Ah, on l’attendait, cette information. Les Echos se sont chargés de la diffuser, ouf! Lisez donc bien l’article indiqué ici en lien, vous serez ainsi au fait de l’info telle qu’elle doit être, vérifiée et sourcée.
Le problème est qu’elle laisse nombre d’observateurs sur la réserve, mieux, en fait regretter certains que la loi sur les fake news ait été rejetée.
Tout cela serait pathétique si nombre d’enjeux ne se cachaient derrière l’acharnement à rendre la Russie responsable de tout et de son contraire.
Qu’on l’aime ou non, ce pays est-il à ce point dans le collimateur d’un Occident qui ne sait plus qu’inventer pour le salir?
Que son Président déplaise, on l’a compris de longue date. Mais qu’il incarne plus de 80% de voix issues d’une population qui compte près de 147 millions d’habitants est la réalité.
Tout comme l’est celle de la France et du Président qu’elle a porté à sa tête dans les conditions que l’on connaît et avec le pourcentage que l’on sait.
Le Hall 1 de l’aéroport d’Orly, l’un des plus importants d’Europe selon le site Les Inrockuptibles qui rend compte de la violente bagarre qui a opposé deux artistes a dû être temporairement fermé.
La culture française n’existerait pas selon le Président Macron.
Donc qu’elle ne se sente surtout pas concernée par ces deux rappeurs qui en sont venus aux mains et qui ont mis à mal sinon à sac la boutique dite « Duty free » d’une salle d’embarquement.
Plusieurs vidéos indiquées en lien dans l’article cité ci-dessus en témoignent.
Cela dit, à lire les différents compte-rendus qui relatent cet épisode, il semble s’agir d’un règlement de compte alimenté de rancunes, bref, d’un conflit ordinaire. Sauf qu’il a opposé deux groupes de rappeurs connus, voire célèbres et qu’il n’est pas sans conséquences ni dégâts publics.
Les feuilletons de l’été s’enchaînent et ne se ressemblent pas quoique…
Hier, j’ai évoqué la France qui se déchirait et la Grèce qui brûlait.
Certes, les deux problématiques sont étrangères l’une à l’autre. Aucune comparaison n’est possible, bien sûr, sinon à l’échelle humaine.
Or de cette échelle, justement, il en est souvent fait mention lorsque des droits qualifiés d’humains, sont bafoués.
Nombre d’incendies qui ravagent la Grèce sont d’origine criminelle.
Dans les années 1970, déjà, des pans entiers de terre brûlaient. Un peu plus tard, surgissaient des complexes immobiliers, hôteliers de préférence.
Cela, nombre de Grecs le savent.
Quelle lutte engager quand le profit domine tout autre souci? Partout dans le monde ce comportement s’observe.
Et oui, il existe des êtres sans conscience sinon la leur, rien de très nouveau et cependant, toujours dommageable.
A Mati, cette petite cité balnéaire désormais rayée de la carte, l’Eglise a échappé aux flammes. Hasard ou pas, le fait est là.
Depuis que le journal Le Monde a révélé ce qui désormais s’appelle l’affaire Benalla, beaucoup s’agitent, brandissent tel ou tel carton plutôt rouge que jaune pour sanctionner le gouvernement.
Le Président d’encore toutes les Françaises et de tous les Français trouvera sans doute la parade. Fort de sa pensée complexe, entouré de ses conseillers, nous dira-t-il qu’il assume?
Ce verbe, ne l’oublions pas, est un classique de son répertoire.
Emmanuel Macron est intelligent et n’est pas prêt de se laisser inquiéter par la foule de mécontent(e)s qui le verraient déjà hors de l’Elysée.
Au mieux ou au pire. à choix, son entourage sera remodelé et encore… Pendant ce temps-là, le feu ravage les environs d’Athènes.
Pensée à tant d’êtres désemparés, pris par les flammes qui ont détruit leur univers et emporté avec elles plus de soixante vies.
Vous le saviez sans doute déjà, pour celles et ceux qui diversifient leurs sources d’information. Pour les autres, eh bien voici qui leur donnera l’occasion de découvrir ce qui ne relève pas même de propagande russe.
Il s’agit de propos tenus par Robert Kennedy junior.
Qu’en conclure sinon que le procédé est tristement humain, connu et rôdé? Des intérêts en jeu, on mobilise toutes les forces à disposition pour les défendre. Et on attaque avec autant d’entrain ce qui émane du camp adverse.
C’est tellement simple et éprouvé qu’on retrouve la manière dans tous les conflits dominés par la plus mauvaise foi qui soit.
Alors?
Se faire une raison, non car la diplomatie existe et n’a de sens que de tout mettre en oeuvre pour calmer les ardeurs belliqueuses.
Cependant voilà, tous ne l’entendent pas ainsi et guettent du plus mauvais oeil leur perte d’influence à l’horizon. Pendant ce temps-là, les pertes civiles s’accumulent, qu’à cela ne tienne!
Et partout où la terreur s’exerce pour maintenir son emprise, les mots sont là, prêts à condamner avec la plus grande fermeté tel et tel acte qu’on se hâte de qualifier d’odieux.
Mourir sans comprendre pourquoi avait déjà été évoqué ici.
Ces victimes, dans le Donbass, interrogent et s’interrogent comme partout ailleurs dans le monde, lequel de ces cyniques va-t-en-guerre s’en préoccupe?
Une vie, c’est si peu…
Donc, selon l’article indiqué en lien dans le précédent sujet de ce blog, un couple gay français s’est fait agresser en Russie.
On sait la propension qu’il y a, de la part de nombreux journalistes, à évoquer comment sont mal traités les couples homosexuels en Russie ou en Tchétchénie quand d’autres pays peu homophiles semblent, pour leur part, échapper aux unes médiatiques.
Mais là, par exemple, que penser de cette affaire de pédophile qui a visé des militaires français?
Rappelez-vous, c’est The Guardian qui en avait fait part le premier. Après quoi, une enquête avait été ouverte, la justice française saisie pour, en fin de compte, délivrer un non-lieu.
Comme l’écrit l’auteur de cet article qui interroge: pourquoi ne pas purement et simplement légaliser la pédophilie et la prostitution infantile dans le cadre des opérations extérieures françaises ? Ainsi ne serait-il plus nécessaire de faire semblant d’enquêter ou d’entamer des poursuites contre les violeurs dès lors qu’ils appartiennent à l’armée coloniale…
France2 avait consacré une de ses émissions Envoyé Spécial à l’affaire.
A l’époque, aucune décision de justice n’avait encore été rendue. Nous voici désormais au clair. Un peu comme dans le sujet traité ici et qui laisse entrevoir comment travaille la justice…