Voici un article qui confirme à quel point les dénommées forces de l’ordre sont elles-mêmes lasses sinon bien plus encore, de vivre ce qui leur est imposé.
Déclarer exercer un pouvoir vertical et se détourner à ce point de ce que connaissent chaque jour autant de représentants dudit pouvoir, comment appeler cela?
Déni de réalité? Dénoncée de longue date, entre autre ici par les policiers, la leur est piétinée.
Tous les corps dits intermédiaires sont mis à mal, en France, en l’occurrence. Et nombreux sont ceux qui ont alerté de situations intenables.
Pour quel résultat?
Se suicider serait-elle une fin de vie digne d’un pays qui se réclame de la charte des droits de l’homme, rebaptisés, « droits humains » ?
C’est vrai que changer d’appellation change tout, cela se connaît!
verticalité
Dire qu’Emmanuel Macron bouscule les codes est (presque) devenu un euphémisme. Dire qu’il a bousculé le champ politique, tout autant.
Se prononcer à cet égard n’est pas le propos ici.
Non, il s’agirait plutôt d’exprimer quelque perplexité quant à certains propos tenus sur le nouveau Président français.
Dans cet article ,en effet, Stéphane Benoît-Godet fait mention, entre autre, de la verticalité de la classe politique à laquelle Emmanuel Macron opposerait désormais l’approche collaborative.
Or si l’on se réfère à ce qu’a déclaré Emmanuel Macron lui-même, il dit croire en la verticalité du pouvoir politique.
Certes, Stéphane Benoît-Godet, sur le site du journal Le Temps, parle de la verticalité de la classe politique quand le Président, pour sa part, évoque la verticalité du pouvoir politique.
La nuance se trouve sans doute dans le détail qui fait que la formulation de l’homme en marche est plus claire que celle du journaliste.
Car la verticalité du pouvoir et la loyauté à lui devoir de la part des hauts fonctionnaires sont bel et bien au programme de Monsieur le Président.