C’est ce que certains nomment des dommages collatéraux.
Si l’appellation est contrôlée, les forces de l’OTAN qui ont bombardé un centre de soins en Afghanistan, ne semblent, elles, pas l’avoir été du tout.
L’association Médecins Sans Frontières est en deuil, ce soir avec 12 membres de son personnel tués et 37 victimes parmi ses patients.
Selon l’ONU, le bombardement d’un hôpital relève du crime de guerre.
Pour l’heure, hommage soit rendu aux victimes, déjà blessées de guerre et désormais disparues avec celles et ceux qui ont donné vie et amour à les soigner.
Sujet paru en page 13 de l’édition papier de La Tribune de Genève du 9 octobre 2015 sous le titre, MSF: l’humanité est en deuil
Politique
No Comments