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Handicapé et sa mère agressés à Lyon

Du bien et du mal, on disserte, on a disserté et on dissertera encore sans fin.

La morale d’un côté,  le droit de l’autre y apportent leur considération.

Il n’en demeure pas moins que découvrir pareille agression blesse qui a encore un coeur.

Pour les autres, cela fait partie de l’ordre du monde, peut-être…

La noirceur de l’être humain est connue, sa grandeur d’âme et d’esprit tout autant.

S’y référer maintient l’espoir mais n’occulte rien.

Politique, société

On apprend que l’agresseur présumé du policier désormais sorti du coma est d’origine suisse.

C’est la Tribune de Genève qui le révèle, ce qui ôte de facto du grain à moudre aux xénophobes ou autres nationalistes convaincus.
Cela dit, on se rappelle l’intervention d’une élue helvète qui avait estimé que « LA » Suisse n’existait pas. Il en avait été question ici. Dans ce cas, l’agresseur serait-il originaire d’un pays qui n’existe pas?
Pour l’heure et quoi qu’il en soit, l’homme est sous les verrous.
La violence qui s’exerce non seulement envers les femmes mais envers toute personne est une réalité.
A ce jour, aucune réponse idéale n’existe, nul ne l’ignore. Chacune et chacun y va de sa solution, de la plus radicale à la plus laxiste.
Est-ce là une raison de baisser les bras, bien sûr que non. Mais rien ne va de soi, sachant ce qu’implique toute  modification de loi.
En attendant, on se réunit, on discute, dans le cadre de colloques ou autres réunions en tous genres.
Autant d’occasions d’exposer des points de vue qui déboucheront on non sur quelques nouvelles mesures à prendre, que « LA » Suisse existe ou pas.

Politique, société

Genève, violente agression d’un policier

A quand, une manifestation de SolidaritéS ou de tout autre parti politique en soutien à ce policier agressé et dans le coma?
Les femmes seules ne sont pas victimes de violence.
Toute personne qui s’oppose à la brutalité de fous furieux s’y expose. En l’occurrence, les fonctionnaires au service de l’ordre public.
Lisez cet article dont l’ensemble pourrait être cité ici et vous réaliserez comment la situation évolue non seulement à Genève mais en Suisse, ce pays que certains considèrent encore comme idyllique.
Il l’est peut-être, vu sous un certain angle. Lequel, cela reste à définir.
En attendant, il ne semble plus vraiment se distinguer d’autres qui dressent le même constat que celui énoncé dans l’article.
A l’absence de toute considération apportée à la fonction de policier, s’ajoute le manque de moyens mis en oeuvre pour l’exercer.
Autrement dit, à chacune et à chacun de s’arranger avec ce dont il dispose et adieu va!

Politique, société

Cinq femmes violemment passées à tabac et de nombreuses questions

Voici un cas typique en voie d’être récupéré par tous les bords politiques confondus.
A Genève, cinq femmes ont été violemment agressées, ce mercredi 8 août aux aurores, à la sortie d’une boîte de nuit. Le peu que l’on sait des faits est grave, l’une des victimes est dans le coma.
On apprend, à la lecture de ce qui en est rapporté dans l’édition papier de la Tribune de Genève du 9 août, que la scène a été filmée, que la première femme qui s’est fait tabasser était accompagnée d’un ami et que quatre femmes venues porter secours à la victime ont subi le même sort qu’elle.
A savoir, coups de poing, coups de pied et, indice ou non, coups de béquille.
Aussitôt, une manifestation a été organisée en soutien aux cinq femmes. Il est, certes, beau d’exprimer sa solidarité tant les faits choquent. Cela dit, à entendre ce qui a été rapporté ici des propos tenus lors de ce rassemblement, on reste un peu perplexe.
D’abord, parce que réclamer que les femmes puissent se promener dans la rue comme il leur sied à toute heure du jour et de la nuit ne va sans doute pas intimider qui veut en découdre, ensuite, parce que seules les femmes ne tombent pas sous les coups de leurs agresseurs, enfin, parce que l’on ignore tout de ce qui a déclenché cette scène de violence.
Car parmi le nombre d’éléments que l’on ignore, figurent aussi les raisons du silence qui entoure l’homme qui accompagnait la femme battue. Autant dire que face à tant de mystères, ne restent que les yeux pour pleurer et la réserve à garder tant nous ne connaissons, de la situation, que le tragique et sinistre résultat.
Qu’il soit à imputer aux racailles venues d’hors les frontières ou aux nouveaux arrivés dits migrants, cela ne manque pas non plus d’être évoqué par qui guette toute occasion pour faire valoir ses visions politiques. Aussi, avant de brandir telle ou telle cause à défendre, féministe ou anti-migratoire, penser aux seules victimes de toute forme de violence serait déjà bienvenu.
En pensée avec ces femmes, leurs proches et leurs familles.

Politique, Religions, société

« Je n’obéis pas aux lois de la République »

Le propos a le mérite d’être clair. C’est une femme qui l’a énoncé.
La femme portait un niqab et a refusé de se soumettre à un contrôle d’identité auquel la contraint la loi de 2010 sur le voile intégral.
Elle a crié à l’agression alors qu’elle agressait un policier.
Le compagnon de la femme au niqab est alors intervenu et a appelé au renfort.
Une cinquantaine de personnes ont volé à son secours.
Bilan, trois policiers sont blessés dont une policière. Mordue par la femme au niqab.
Par gain de paix en période de ramadan, les personnes interpellées sont ressorties du commissariat.
Libres.
Tout à l’honneur de l’Etat laïc que de respecter les religions.
Pour les lois qu’il édicte, par contre, on repassera.
Sauf pour certaines qui valent la prison ferme.*
http://www.francetvinfo.fr/france/le-controle-d-une-femme-en-niqab-a-marseille-tourne-mal-trois-policiers-blesses_122835.html
http://voix.blog.tdg.ch/archive/2013/06/20/dura-lex-sed-lex.html