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Avaries

Culture, Histoire, Politique, Religions

« Une forme de suicide spirituel »

Tels sont les propos que tient Jean-François Colosimo au micro de Jean-Jacques Bourdin.

Vibrant, il faut le dire, le journaliste, en fin d’émission, lance une dernière question à ce spécialiste des questions chrétiennes.

Et puis, dans l’article ci-dessous, Jean-François Colosimo persiste et signe.

Il dénonce l’interventionnisme gribouille de la France qui arme des égorgeurs et pratique la politique de la chaise vide par l’absence de protection qu’elle offre aux Chrétiens d’Orient.

Dans ce sens et à ses yeux, la Russie a tout son rôle à jouer face à l’humanitarisme inconséquent qui tient lieu désormais de politique étrangère à la France et aux pays de l’Union européenne.

Il va de soi que lorsque l’on considère inutile de voir figurer la christianophobie dans le plan d’Etat français, que l’on propose de supprimer des fêtes chrétiennes du calendrier civil, se soucier des Chrétiens d’Orient dont Jean-François Colosimo rappelle le rôle essentiel qu’ils ont joué dans notre Histoire, apparaît vain à certains aspirants-maîtres-du-monde.

 

Politique

« Ceci n’est pas votre guerre! »

La mort ni la détresse n’appartiennent à un camp ou à un autre, on le sait. Nos médias informent de situations de guerre, on le sait aussi.
Pour l’objectivité qu’ils respectent, elle a été contestée par des époux qui ont porté plainte contre la RTS au prétexte d’un traitement partial du conflit ukrainien.
Il a été reproché à certaines éditions du téléjournal, en effet, de privilégier le point de vue des autorités russes. La Tribune de Genève a fait part, dans son édition de ces 6-7 juin dernier, du fait que la plainte déposée contre la RTS a été rejetée.
C’est dire si les regards portés par les uns et les autres sur la guerre en Ukraine sont sensibles et divergent quant à la manière qu’ont les médias d’en rendre compte!
La video ci-dessous a été filmée à Donetsk par un Américain.
Suite à des frappes d’artillerie qui ont visé des quartiers résidentiels de Gorlovka, ville de la région de Donetsk dans le sud-est de l’Ukraine, la femme qui s’exprime lance un appel:  

Voix

La vie au-delà de tout

Une pleine page de la Tribune de Genève de ce 5 juin a été consacrée à la démarche du photographe genevois, Niels Ackermann.

Animé par l’envie de montrer l’Ukraine sous un nouveau jour, estimant le prisme des médias et du public assez formaté et compris à travers des sujets sur la guerre, la révolution ou la corruption, le Genevois a lancé une campagne de crowdfunding sur la plate-forme de We Make It.

En dix jours, le photographe a recueilli plus de CHF 10.000.- alors qu’il s’attendait à recevoir CHF 6.000.- en quarante-cinq jours.

Niels Ackerman vit à Kiev depuis peu. Il évoque la révolution de la dignité et souhaite contribuer aux efforts pour créer une nouvelle Ukraine.

Une autre campagne d’appel au don vient d’être lancée, elle, par un journaliste français auquel trois sujets de ce blog ont été consacrés.

Laurent Brayard, on l’aura compris, développe un autre regard sur l’Ukraine que celui de Niels Ackermann.

Cependant, tout comme le photographe genevois, le journaliste français voit l’espoir et la vie dominer l’horreur.  Il a évoqué, ici-même, ce qu’il a partagé avec la population du Donbass et l’immense solidarité qu’il a connue au milieu d’êtres privés de tout ou peu s’en faut.

Laurent, lui aussi, a envie de contribuer aux efforts pour créer une nouvelle Ukraine. Quel  que soit le destin de ce pays durement frappé, la démarche de Laurent Brayard l’honore.

Il s’en explique ici et on lui souhaite le même succès que celui remporté par le Genevois, Niels Ackermann.

société

Liberté d’expression ici et là…

Un blogueur bien connu de la plateforme de La Tribune de Genève vient de démontrer son sens aigu de la liberté.
En fait de liberté de parole qu’il défend et dont il conspue les limitations sinon l’interdiction, il excelle.
Monsieur Philippe Souaille, pour ne pas le nommer, s’en prend aux propos tenus par Guy Mettan dans un billet publié hier:
http://guymettan.blog.tdg.ch/archive/2015/06/03/a-quand-la-fin-du-journalisme-embarque-267709.html
Le courageux auteur du blog intitulé La mondialisation humaniste ne mâche pas ses mots pour fustiger le billet du patron du Club suisse de la Presse.
Et pour prouver son ouverture au débat d’idées, ferme les commentaires de son sujet:
http://philippesouaille.blog.tdg.ch/archive/2015/06/04/quand-le-patron-du-club-suisse-de-la-presse-derape-267745.html
Le monde comme il va, c’est ici…

Economie, Religions

Oligarchie dénoncée là, laïcité défendue ici…le monde comme il va

On apprend par le magazine Forbes relayé par nombre de médias dont Le Monde que les milliardaires les plus riches de notre planète sont tous Occidentaux.
On comprend le besoin de tant de médias de sans cesse stigmatiser les oligarques russes dont le premier apparaît au 60e rang des plus grandes fortunes.
A Genève, au nom de la laïcité, décision a été prise par le Département de l’Instruction Publique de Genève d’interdire la participation active d’élèves à L’arche de Noé, de Benjamin Britten.
J’avais cité ici-même, 
http://voix.blog.tdg.ch/archive/2013/12/10/temp-8e351f3b052d51a2ccb910c274c71e3e-250748.html
les propos de la Conseillère d’Etat en charge dudit département alors que se posait la question de la laïcité tandis qu’elle prêtait serment dans un lieu de culte protestant.
Selon elle, il y avait d’autres choses plus importantes pour lesquelles se battre.

Politique, société

Précisions

En février 2015, il a été estimé par un(e) internaute au pseudo connu de La Tribune de Genève, que l »espace-commentaires » de ce blog était « l’un des endroits les plus violents de la plateforme de la Tribune de Genève. » 
La vivacité des échanges que je publie ici n’est que le reflet de tensions observables dans toute société.
Dans ce sens et en dépit de nombre de mes interventions rappelant qu’un blog n’est pas un ring, il apparaît vite impossible de ne pas voir se substituer au débat d’idée, l’attaque à la personne.
J’en ai moi-même été et en reste souvent la cible.
Ainsi, la convivialité tant préconisée par quiconque préfère débattre de manière courtoise, reste-t-elle le plus souvent une vue de l’esprit. 
Que des conflits éclatent dans « l’espace commentaires » de ce blog demeure inévitable tant les sensibilités des internautes qui commentent sont à vif et les opinions souvent tranchées.
Défendre le principe de liberté d’expression est un exercice qui oblige.
Il expose tout autant.

Politique

Le Donbass plutôt que la France?

La lecture des articles que Laurent Brayard a consacrés au Donbass invite à lui poser d’autres questions, tant son approche tranche avec ce que l’on peut apprendre de la situation sur place.*

Ainsi s’entretient-il avec la conservatrice du Musée d’archéologie et de paléontologie de Donetsk -ou plutôt de ce qu’il en reste tant son patrimoine historique et culturel a été détruit- et elle lui dit n’éprouver point de haine pour les Ukrainiens, que leurs écoles dans le Donbass continuent à enseigner la langue ukrainienne comme capital commun mais qu’elle ne comprend pas ceux de l’Ouest, cet acharnement.

-Laurent, ces propos semblent rejoindre vos observations relatives à la distorsion que vous avez observée entre forces militaires en présence et populations concernées. N’est-ce pas là une constante que l’on observe dans tout conflit?
-A mon sens, il faut rappeler que si j’ai été impressionné par cette leçon de démocratie dans le Donbass, comme, par exemple, lors de ma rencontre avec un couple de personnes âgées vivant dans la Novorossia et clamant haut et fort être pour l’Ukraine unique de Porochenko, ou encore par la déclaration que vous citez de cette conservatrice du musée de Donetsk, mon sentiment est que les populations dans le Donbass, les gens que j’ai rencontrés, veulent effectivement la paix. Mais attention, pas à n’importe quel prix.
S’ils sont très motivés pour obtenir leur indépendance, beaucoup d’entre eux me disaient que l’autonomie, dans l’Ukraine actuelle qui pratique l’épuration ethnique, les persécutions politiques, les enlèvements et l’assassinat de dissidents, serait le plus grand malheur qui puisse arriver après celui d’une éventuelle et catastrophique défaite du Donbass et le carnage que tout cela entraînerait. Donc la paix, oui, mais comme je l’ai dit ailleurs, dans l’honneur et la dignité. Dans le Donbass, ces gens m’ont tous dit qu’ils étaient effarés par la folie de ceux de l’Ouest, par cette hystérie collective de l’Euromaïdan et qu’ils étaient choqués par le massacre d’Odessa suivi de tant de meurtres, de viols et de pillages. Ils se souviennent de la Grande Guerre patriotique, ils se souviendront des exactions commises longtemps encore.
Cela dit, oui, les populations civiles sont toujours les victimes innocentes et tragiques de n’importe quelle guerre, celle-ci, peut-être plus que tout autre.
-Laurent, en conclusion d’un de vos articles*, vous écrivez Pour moi ma décision est prise. Comme l’ambassadeur français à Prague en 1939 demandait la nationalité tchèque alors que les divisions allemandes forçaient la frontière, je demande la nationalité du Donbass. Je préfère partager le sort de braves gens que de me taire et suivre tacitement des politiques qui déshonorent leurs charges et à travers elle, la France, chaque jour qui passe.
Est-ce le fait de vous être rendu au Donbass qui vous a inspiré ces mots?
-Notre gouvernement, le régime présidentiel si peu démocratique qu’est celui de la France, a trahi depuis longtemps son Peuple, pis encore, en soutenant, dans le monde, des dictatures, en trempant les mains dans le sang d’autres peuples.
Nos dirigeants ont montré qu’ils avaient déchiré le contrat populaire entre eux et la Nation, ils ont écrasé au pied toutes les valeurs républicaines, trahi notre histoire, notre pays et mieux encore, à l’exemple du TAFTA qui arrive en France, ils ont achevé quasiment de réduire notre pays, sensé être celui des Droits de l’Homme, à une caricature, une pantomime ridicule. Songeons que, suite au référendum sur le traité européen en 2005, nous avions répondu NON… mais qu’une poignée d’oligarques a fait fi du résultat pour répondre OUI.
Quant à l’écho rencontré par mes articles, je reçois des soutiens de partout mais je ne m’illusionne pas sur la suite. Si ma voix était vraiment entendue, je serais bientôt en danger d’une manière ou d’une autre. La chasse aux opposants, à mon avis, ne tardera pas, dans les prochaines décennies, en France.
Lorsqu’un interlocuteur m’indique « mais que voulez-vous comme régime ? », je lui réponds immanquablement : « Mais fondons la République ! ». Toujours, je lis alors dans son regard l’incompréhension béate totale. Alors je le redis à nouveau, les gens du Donbass donnent un exemple, sachons ouvrir les yeux, faire preuve d’Humanité, défendre les valeurs démocratiques en supportant les peuples qui ont choisi leur indépendance. Sachons revenir à nos valeurs sacrées, sachons réveiller la Nation, ce qui se passe au Donbass est historique, ce qui pourrait se passer en France ne le serait pas moins !
-Encore une fois, Laurent, merci d’avoir répondu à nos questions.
-Merci à vous de m’avoir donné la parole, l’ostracisme, en France ,je connais!
* http://novorossia.today/donetsk-a-quelques-encablures-de-l-aeroport/http://novorossia.today/laurent-brayard-je-suis-alle-dans-le-donbass-et-j-accuse-le-gouvernement-francais/

Politique

La trêve n’existe pas

Laurent Brayard est Français, journaliste, a vécu longtemps à Moscou. Il vient de publier un ouvrage consacré à la problématique ukrainienne, L’Ukraine le royaume de la désinformation.

De retour du Donbass, dans l’Est de l’Ukraine, il nous a livré ses impressions.

-Laurent Brayard, qu’avez-vous découvert dans cette région de l’Ukraine qui vous a le plus marqué ?

Le courage incroyable d’une population digne. La vie, pour elle, continue alors que les tirs d’artillerie ne cessent pas, surtout la nuit, sans compter l’ambiance des destructions dans la ville. Mais ces gens sont tellement incroyables qu’ils relèvent immédiatement les ruines, nettoient et remettent en état ce qui est possible de l’être. Au-delà des ruines, des routes défoncées et parsemées de cratères d’obus, au-delà des forces ukrainiennes aux portes de Donetsk, du Donbass, ces gens qui n’ont plus grand-chose, font preuve d’une extraordinaire solidarité. L’aide humanitaire arrive au compte-goutte de la Russie, du côté de l’Occident, les Ukrainiens pratiquent un blocus total, la situation sanitaire est mauvaise, la disette guette.
Dans une soupe populaire que nous avons visitée, on y partage la conserve de viande en 30 portions mélangées à du Kacha, à des céréales ou à un autre plat rudimentaire. La boîte de sardines est répartie en 20 portions… Il n’y avait qu’une semaine de réserves, et encore, sans plus de pâtes, quasiment rien, en fait.
Les habitants ont mis en place un pain « républicain » à 2,8 grivnas les 600 grammes, soit environ 10 centimes d’euros, une sorte de loi du Maximum (comme sous la Révolution française) pour empêcher les spéculateurs de proliférer. L’essence manque, beaucoup de magasins sont fermés, les banques ne fonctionnent plus, victimes du blocus et j’en passe. Mais quel courage ! Ces gens sont incroyables.

-Au-delà de l’émotion, certes et obligatoirement forte que vous avez dû ressentir, quelle analyse de la situation livreriez-vous?

Le front est tenu fermement, les Ukrainiens se renforcent chaque jour, ils reçoivent des instructeurs, énormément d’argent des USA et de l’Union européenne, achètent des armes malgré la situation économique grave qui les frappe également du côté de Kiev qui pourrait pourtant bien avoir la tentation d’écraser les Républicains du Donbass. Les Ukrainiens sont encouragés par l’inertie de l’Union européenne et par le grand soutien qu’ils reçoivent, par exemple, puissamment de France, du gouvernement, de personnalités politiques.
La trêve n’existe pas, en réalité, les Ukrainiens tirent tous les jours sur les positions des forces des deux Républiques de Donetsk et Lougansk. Ils espèrent l’embrasement et multiplient les provocations. L’affaire se décidera, soit dans un nouveau bain de sang voulu par Kiev, dont l’Union européenne et les Etats-Unis rendront coupable la Russie, soit par une nécessaire négociation finale mais cette fois avec les représentants des Républiques. Leurs habitants ont déjà choisi l’indépendance, mais en Europe il est dit que des élections doivent être tenues ! Elles ont déjà eu lieu, les citoyens ont proclamé leur liberté… par un référendum et élu un gouvernement.
Une intense vie politique et démocratique existe déjà dans le Donbass, il n’y a pas d’armée russe, c’est un mensonge éhonté, je suis allé jusqu’à 500 mètres de l’aéroport, à l’arrière immédiat du front, cela tirait. Pendant tout mon séjour je n’ai pas vu le moindre véhicule, bataillon, régiment ou division de l’armée russe.
Mais on persiste à dire que 50 000 soldats russes sont dans le Donbass ! C’est un terrible mensonge dont les gens du Donbass meurent.

-Un avenir plus stable est-il envisageable ? Et si oui, selon vous, qui semble le souhaiter vraiment?

A mon sens, oui, c’est possible, il faudra bien que tous s’assoient autour d’une table, il faudra bien que le Donbass soit reconnu indépendant, ces gens sont libres, ils ont choisi, ils ont décidé démocratiquement et sans la Russie. Soutenir le contraire est une absurdité totale. Que ces journalistes français qui le prétendent fassent comme moi, qu’ils s’y rendent et fassent leur travail, pour une fois ! Qu’ils ne donnent pas qu’une seule opinion, celle des Ukrainiens de la Junte de Kiev et alors nous pourrons espérer aussi changer les choses, ici, en France. Le combat du Donbass est le nôtre, ces gens soulèvent un immense espoir, celui de comprendre que nous aussi, nous avons été un peuple libre et que nous pouvons le redevenir, rappelons-nous que nous sommes les fils des Lumières, de la Déclaration des Droits de l’Homme et de la Résistance.
Quant à la paix, elle n’est souhaitée par aucun des deux camps, du point de vue des militaires, mais les peuples ukrainiens et russophones du Donbass aspirent massivement à la paix.
Toutefois, le sang a coulé, cette paix ne pourra se faire que dans le respect de l’intégrité morale, physique et idéologique des deux parties. Et cela signifie la reconnaissance de l’indépendance pour les deux Républiques.

-Merci, Laurent, d’avoir répondu à nos questions.

Merci à vous, Hélène, de m’avoir donné la parole.

Politique

La Suisse en aide à l’est de l’Ukraine

Depuis décembre 2013, près de 150 sujets de ce blog ont été consacrés à ce qui s’est d’abord appelé crise ukrainienne avant de devenir guerre en Ukraine.
La Suisse, l’an dernier, a eu un rôle essentiel à jouer dès lors qu’elle présidait l’OSCE et célébrait également le bicentenaire de ses relations diplomatiques avec la Russie.
Certains événements prévus dans ce cadre ont été maintenus quand d’autres ont été annulés. On se rappellera, entre autre, la visite prévue du président de la Chambre basse du Parlement russe, Sergueï Naryshkine que son homologue suisse, Ruedi Lustenberger a jugé bon d’annuler:
http://voix.blog.tdg.ch/archive/2014/08/15/suisse-russie-l-insulte.html
Heureusement, l’interview qu’avait sollicitée Darius Rochebin du Président de la Douma avait un peu sauvé la mise:
http://voix.blog.tdg.ch/archive/2014/10/02/un-temps-fort-du-journalisme.html
Or voici que ce 15 mai, le site officiel de la Confédération Helvétique annonce que la Suisse a envoyé un convoi humanitaire à destination de l’est de l’Ukraine:
https://www.news.admin.ch/message/index.html?lang=fr&msg-id=57284
Cette initiative est heureuse pour les populations concernées, bien sûr.
Mais elle l’est aussi pour la Suisse qui renoue ainsi avec sa neutralité un peu mise à mal jusque là par certaines décisions prises.

Economie, Politique

« Cesser toute activité avec les Russes serait un non-sens »

Tel est l’avis d’Henri Proglio.
Tel ne paraît toutefois pas être celui du Ministre français de l’Economie et des Finances, ci-dessus en photo.
A lire les explications données par l’ ancien patron d’EDF, il semble bien que ses relations avec la Russie lui aient coûté un poste qu’il n’avait pourtant pas même sollicité mais pour lequel on était venu le chercher.
Tandis qu’il devait être nommé président du conseil d’administration du groupe d’électronique et de défense THALES, il vient d’annoncer qu’il renonce à cette nomination.
Aux questions d’un journaliste du grand quotidien français Le Monde, ses réponses sont sans ambages.
A les lire, on découvre comment le pouvoir des uns et l’influence des autres est mise à contribution.
Toujours si prompts à stigmatiser les régimes de pays considérés comme plus proches de dictatures que de véritables démocraties, certains y trouveront ici de quoi méditer:
http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/05/12/henri-proglio-bercy-fonctionne-comme-un-hedge-fund_4631688_3234.html?xtmc=thales&xtcr=2