Dans son édition de ce 18 octobre, Le Courrier revient sur le dysfonctionnement de la Cour des Comptes dénoncé par le magistrat démissionnaire, Daniel Devaud.
L’article de Mario Togni fait référence à la débâcle de la BCGe dont les effets auraient encore des conséquences.
Ce serait, en effet, le rachat d’actions d’une ex-société de Carlo Lavizarri par une fondation immobilière publique qui expliquerait la dissension entre les magistrats de la Cour des Comptes.
L’article évoque par ailleurs une entrave à la création de Logements d’Utilité Publique et rappelle que La Tribune de Genève, en début d’année, avait relevé le cas d’un projet controversé de LUP à Lancy.
Pour en savoir davantage, c’est ici:
http://www.lecourrier.ch/102628/l_ombre_de_la_bcge_ressurgit_a_la_cour_des_comptes
Genève
Le magistrat Daniel Devaud quittera ses fonctions le 31 octobre prochain. Il n’ira donc pas au terme de son mandat.
Sa demande de mettre sur pied une commission d’enquête parlementaire a été rejetée par la majorité des députés du Grand Conseil.
Car il est évoqué une simple incompatibilité d’humeur entre deux magistrats.
Le prétexte à ce refus est aussi léger que fut lourd le geste de Stéphane GEIGER.
http://voix.blog.tdg.ch/archive/2012/09/19/geneve-et-ses-jets-d-eaux-troubles.html
C’est bien sur le dysfonctionnement de la Cour des Comptes que Daniel Devaud a voulu attirer l’attention par sa demande et non sur quelques litres d’eau reçues en prime par son confrère.
Mais les secrets de la Cour l’ont emporté.
La couleur de peinture qui a vandalisé les murs de l’Eglise orthodoxe russe de Genève ne doit sans doute rien au hasard.
Elle doit rappeler la guerre, la violence et la mort. Evoquer un pouvoir assassin.
Une institution vient d’être nobélisée pour la paix. A la bonne heure! L’Union Européenne est sauve.
Blanchie de tout sang versé.
Ruinés de tous les pays, unissez-vous, réjouissez-vous, aux pays des colombes, les pigeons veillent.
http://www.20min.ch/ro/news/geneve/story/L–glise-russe-profan-e-durant-la-nuit-25653186
Mikhaïl Gorbatchev, de passage à Genève dans le cadre de ses fonctions au sein du conseil d’administration de son ONG, Green Cross International, accorde un entretien exclusif au Temps du 4 septembre 2012.
L’interview occupe une pleine page du journal, certes avec le portrait de l’ancien président russe.
Or, de l’ensemble des sujets traités, seuls deux d’entre eux sont relevés en caractères gras.
L’un figure dans un encart en une du journal, l’autre en haut de la page où se trouve l’entretien.
A l’évidence, ce traitement sélectif des propos de Mikhaïl Gorbatchev opéré par Le Temps, vise à décrédibiliser Vladimir Poutine.
Car sur le dossier syrien, la position de Mikhaïl Gorbatchev est en total accord avec celle de Vladimir Poutine. Mais ce sujet-là a sans doute dû résister aux caractères gras des intitulés.
Voici quelques lignes à relever des déclarations de l’ancien président russe à propos de la Syrie:
Dans le cas syrien, il semble que le Conseil de sécurité pourrait entraîner le monde dans une solution militaire.
J’apprécie la résistance de la Chine et de la Russie à une telle décision.
Des intérêts géopolitiques sont en jeu, ils sont ignorés par les medias.
Tout, vous trouverez tout à Genève. Misère, richesse, masquées ou non, elles se côtoyent. Et puis ici aussi, on boit, on se pique, on se poignarde. Au nom de quoi, allez le savoir, le résultat est là. Mais l’avenir, où se lit-il? A Genève, on se tue et on tue. La mort ordinaire, c’est au coin de la rue. Sans l’odeur du souffre de la guerre mais dans l’anonymat d’une Cité accueillante.
A l’heure où tant de conflits embrasent le monde, que représente une vie ordinaire? Si peu et pourtant, partout à Genève des voix s’élèvent pour se plaindre. D’incivilités quotidiennes courantes à tous les niveaux et dans tous les domaines. Mais on nous annonce une nouvelle Constitution. Soit. On nous en dit aussi son prix en millions et en heures de travail. Soit. Mais qui songe à la gestion de vies quotidiennes polluées par toutes sortes de nuisances ordinaires? Les ranger au rang de banalités à considérer comme normales en vertu de l’usage désormais consacré de l’adjectif, non. Une vie citoyenne vaut mieux que cela et sait encore distinguer la tolérance de l’abus.
Ce dimanche, 19:30, un tampax trône au milieu d’autres ordures et débris de verre.
Sur la colline de l’Observatoire, quels seraient les « Gitans » si souvent mis en cause, qui seraient venus voir Les Feux pour y laisser autant d’immondices?
La protection féminine ensanglantée, c’est sur demande expresse de citoyens excédés d’avoir à subir ce genre de découverte au coeur de la cité, que je l’ai photographiée.
Lendemains de Fêtes de Genève ou pas, la ville est sale en dépit de toutes les videos postées sur le site de la voirie, invitant au civisme.
Pour mémoire:
https://helenerichardfavre.ch/limage-et-le-territoire/
Quant à l’an dernier, même cause et mêmes effets:
En voici un qui a compris que le bonneteau ne lui rapportait sans doute plus assez. Ainsi et plutôt que de jouer le faux touriste joueur ou au contraire, de s’amuser avec une boulette et trois petites boîtes, il drague. Une jeune touriste au charmant visage, peut-être asiatique, en tout cas bien confiante était en grande conversation avec un de ces joueurs de bonneteau tellement vus que les habitués des lieux ne peinent plus à les reconnaître. L’homme bonimente et la femme l’écoute. La conversation se déroule en anglais, la jeune touriste curieuse pose des questions comme par exemple « Do you live here? » La réponse enchante la jeune femme et très vite le bonimenteur parvient à lui faire sortir son téléphone pour lui faire noter ses coordonnées tandis qu’il n’oublie aucun détail à relever des indications que lui fournit la jeune femme. Tout cela se déroule sans la moindre insulte, la femme se sent considérée au point que la scène se conclut par de grands sourires et une embrassade. Chacun repart satisfait. Ce que réserve le joueur de bonneteau à la jeune femme, elle seule le saura. Ou peut-être la police si elle peut encore quoi que ce soit. La femme portait d’évidents signes de richesse, elle n’a pas été insultée. Si la romance qui s’est déroulée cet après-midi sur les quais de Genève se termine d’une manière moins enchantée qu’elle n’a débuté, cette jeune touriste risque bien de revenir dans son pays avec un souvenir mitigé de cette ville où l’amour paraissait s’inviter pour un avenir radieux.
Monsieur Décaillet a choisi de bannir mon IP de son blog. C’est son droit. Le mien, de le faire savoir ici et de publier notre échange de messages: Cher Monsieur,
J’ai commenté votre sujet sur la citoyenneté mais mon commentaire n’est pas apparu sur le site de la TdG.
J’ai donc tenté de le reposter mais j’ai été immédiatement redirigée sur votre blog sans que l’on me confirme comme d’habitude que mon commentaire a été envoyé.
Je n’ai rencontré ce problème qu’avec votre blog.
Y aurait-il un problème d’ordre informatique ou bien et contrairement à ce que vous m’avez écrit, mes commentaires ne seraient plus les bienvenus?
Je vous remercie de votre réponse.
Bien à vous,
Hélène Richard-Favre Chère Madame,
Je n’ai pas apprécié votre dernier message. Et vous prie en effet, en tout cas pour un temps, de bien vouloir ne plus intervenir chez moi.
D’avance, je vous en remercie.
Bien à vous.
Pascal Décaillet
Aux ordures qui jonchent les promenades ici et là, les chiens auraient de quoi s’indigner.
Car on sait qu’ils aiment à marquer leur territoire.
Mais les citoyens qui laissent traîner déchets et détritus sur leur passage, qui les rappelle à l’ordre?
Monsieur Maudet avec les clips video postés sur son blog?