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Syrie

Politique

Encore un expert, c’est le printemps!

Notre pain quotidien n’a rien à envier à celui que vend Le Temps à ses abonnés.
Sauf que la fabrication du pain quotidien destiné au citoyen lambda, est financée par ses propres deniers.
Voici une chaîne d’information qui nourrit de sa bonne parole le public qui la soutient et lui fait confiance. 
Hier, pas moins de deux émissions nous ont livré leur production. Dans l’une, s’y exprime un auteur qui connaît bien la Russie et dans l’autre, une professeur qui nous parle des réseaux du Kremlin en France.
Depuis la reprise de Palmyre par l’armée syrienne, on observe une immense reconnaissance de la part de l’Occident à la Russie.
Mais on a l’habitude! Nos spécialistes nous ont déjà mille fois raconté comment et par qui la deuxième guerre mondiale avait été gagnée.
Preuve en est l’incontournable Michel Eltchaninoff qui nous a expliqué comment Vladimir Poutine avait mis en scène son absence aux commémorations d’Auschwitz.
Par respect envers les dizaines de millions de victimes soviétiques, je n’indiquerai pas le lien à l’émission dans laquelle est intervenu ce grand connaisseur de la Russie.

Politique

« L’un des meilleurs connaisseurs de la Russie »

Ce 15 mars 2016, notre chaîne publique suisse Radio Télévision SuisseRTS a commenté le retrait partiel des forces armées russes. Après un bref rappel des faits, Darius Rochebin a sollicité l’avis de l’un des meilleurs connaisseurs de la Russie. L’homme interrogé par le présentateur vedette du téléjournal suisse est l’auteur d’un ouvrage formulé sous forme de question, Que veut Poutine?

Paru le 3 mars aux éditions du Seuil, l’ouvrage est ainsi présenté:

La politique étrangère de Vladimir Poutine est interprétée à tort comme celle d’un pouvoir sûr de lui-même. En réalité, elle ne fait que refléter les fragilités de la Russie depuis l’effondrement de l’Union soviétique. C’est la thèse de ce brillant essai : bien que conscient de ses faiblesses, le pays ne parvient pas à dépasser les complexes qui le hantent.

Sur la scène internationale, Vladimir Poutine a certes rendu la Russie incontournable. Secrètement, sa force et son insolence séduisent. Mais que cherche-t-il au juste ? Restaurer l’empire déchu ? Disputer aux autres civilisations le contrôle du monde ? Quelles sont les vulnérabilités qu’il essaie de masquer ? Comment déchiffrer l’idéologie et les principes directeurs de sa politique étrangère ?

Les réponses à ces questions permettent à l’auteur de donner un nouvel éclairage au positionnement de Moscou sur les grands dossiers d’aujourd’hui : la bataille pour l’« étranger proche », la rivalité avec le monde occidental ou encore la lutte d’influence dans « l’étranger lointain ».

Une synthèse indispensable pour comprendre les ressorts de la politique étrangère russe contemporaine.

Nul doute que le regard porté par Jean Robert Jouanny soit idéal pour un Occident friand de publications qui apportent les réponses attendues.

Politique

Syrie, la décision de Vladimir Poutine commentée ici et là

Pour faire plaisir à d’aucuns, voici un peu de cette propagande dont la Russie aurait le secret.
Dans l’article indiqué en lien ci-dessous, chacune et chacun aura tout loisir, ainsi, de découvrir comment diverses rédactions occidentales réagissent à l’annonce du retrait partiel des troupes russes de Syrie.
On sait tout le bien que nombre de perroquets occidentaux pensent de la Russie.
Il existe, néanmoins aussi quelques esprits plus subtils qui savent dépasser la condescendance sinon le mépris affiché pour le président russe et le pourcentage de citoyens qui lui est favorable.
A lire, ci-après:
https://fr.sputniknews.com/international/201603151023380371-russie-syrie-retrait-teactions/

Politique

La droite française et ses « propagandistes » dénoncée…

Voici que la droite française a trouvé son pourfendeur.
Hervé Mariton, oui, celui qui avait pris position en défaveur du mariage homosexuel et qui s’exprime en tant qu’ami de la Russie, de son peuple, de sa culture et de sa langue.
Le voici donc qui charge la Russie qui, en Syrie, se livrerait à un jeu totalement pervers.
http://www.lemonde.fr/international/article/2016/02/28/l-aveuglement-de-la-droite-face-a-la-politique-de-poutine-en-syrie_4873117_3210.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter
Il va de soi que Le Monde, journal russophile s’il en est, ne pouvait qu’accueillir une telle diatribe.
Candidat à la présidence de l’UMP avec Bruno Le Maire et Nicolas Sarkozy, Hervé Mariton, comme on le sait, avait échoué.
Qu’à cela ne tienne, le voici à nouveau en lice.
Il se présentera aux primaires à droite:
http://www.ledauphine.com/politique/2016/02/28/primaire-a-droite-au-tour-de-mariton

Politique, Religions

Syrie, terrorisme et résistance

La Syrie, comparée à Stalingrad, telle est la vision d’Andre Vltchek.
Certes, son point de vue n’est pas celui qui domine nos médias. Quoi qu’on en pense, il vaut la peine d’être lu:
http://lesakerfrancophone.fr/la-syrie-est-le-stalingrad-du-moyen-orient
Dans un article paru en janvier 2014, ce journaliste d’investigation s’exprimait aussi sur l’islam et les pratiques terroristes de certains de ses courants les plus radicaux.
Qu’on partage ou non cette approche, elle offre un éclairage non dénué d’intérêt.
A lire, toutefois, la haine qui s’étale contre telle ou telle religion sinon toutes, il va de soi que la nuance n’accède plus à certains esprits échauffés.
L’aveuglement des uns comme celui des autres est des plus préjudiciables pour le monde entier.
Cependant, la naïveté n’est pas non plus à entretenir.
Dans ce sens, reconnaître la voracité et la cupidité dénuées de toute humanité de nombre de nos compatriotes occidentaux serait tout aussi judicieux.
C’est ainsi que, selon Andre Vltchek, prêts à tout pour arriver à leurs fins, ils n’hésitent pas à recourir aux services d’extrémismes religieux, laissant impuissants tout autre courant de pensée:
http://www.legrandsoir.info/terrorisme-musulman-a-qui-la-faute-counterpunch.html

Politique

Face à la guerre

Attisées de l’extérieur avec promesses de vie meilleure à la clé, ainsi se profilent le plus souvent ces guerres qualifiées, d’abord, de civiles avant d’être reconnues comme guerres tout court.
En Syrie comme en Ukraine, tout a commencé par une rébellion contre le pouvoir en place.
Stigmatiser un chef d’Etat et lui trouver tous les défauts possibles pour le renverser est un schéma connu.
Ce qui se passe en Syrie est envisagé par certains comme un conflit inextricable. En huit raisons, l’auteur de cet article explique pourquoi:
http://www.slate.fr/story/112223/impossible-solution-syrienne
Même à considérer l’ensemble des paramètres qui entrent en ligne de compte dans le conflit syrien, refuser son issue revient à condamner l’humanité à sa face la plus noire.
Oser l’espoir, c’est refuser qu’elle ne s’y résume.

Politique, Religions

« Il faut abattre l’Iran »

La réponse à l’exécution du dignitaire chiite Nimr Baqer-al-Nimr n’a pas tardé, l’ambassade d’Arabie saoudite en Iran a été attaquée à coup de cocktails Molotov.
Les mots cités en titre de ce sujet sont ceux du controversé « rafaa156a » dit l’Algérien.
Dans une video postée en octobre 2014, il expose son point de vue sur ce qu’il appelle une guerre culturelle entre sunnites et chiites.
https://www.youtube.com/watch?v=sNEgCAdj0fU
Selon lui, la vraie guerre entre sunnites et chiites est due au fait que le sunnisme laisse le peuple dans l’ignorance pour le contrôler.
Principe bien connu.
Cependant, de nombreux sunnites se convertissent au chiisme, ce qui déplaît fortement aux tenants du sunnisme.
On essaie donc de stopper l’hémorragie du sunnisme vers le chiisme. Comme on n’y parvient pas, on exécute physiquement.
Quoi qu’on pense du point de vue exposé dans cette video, il n’en demeure pas moins intéressant alors que l’on évoque bien trop souvent l’islam sans distinguer ses deux principaux courants.
Pour rappel, aussi:
http://voix.blog.tdg.ch/archive/2015/09/27/entre-sunnites-et-chiites-les-autres.html

Politique, Religions

Guerre et foi

Amnesty International rend des rapports dont on est en droit d’attendre qu’ils soient vérifiés conformes.
Or voici que l’un d’eux n’a pu être confirmé par l’ONU.
Il concerne les frappes menées par l’aviation russe en Syrie.
Amnesty International accuse la Russie d’avoir visé des civils et tué des innocents.
http://fr.sputniknews.com/international/20151223/1020515764/ONU-Amnesty-International.html
Pendant ce temps-là, en Syrie, on a fêté Noël.

Politique

L’Occident et ses références

Qu’un certain Occident se montre critique face à la politique menée par le président russe, on l’a bien compris. Que ce même Occident sélectionne ses références à l’appui, tout autant.

Après les « 86 % d’une Russie qui rirait quand les gens meurent dans le Donbass« , en passant par le « califat orthodoxe » que voudrait créer Vladimir Poutine, voici la lauréate du Prix Nobel de littérature 2015 déclarer que les Russes font la guerre aux Ukrainiens. À leurs frères et que des avions russes sont en train de bombarder la Syrie.

Ce jeudi 10 décembre, Svetlana Alexievitch recevra son Prix des mains du Roi de Suède.

Que l’oeuvre de l’écrivain biélorusse ait été récompensée regarde l’Académie qui l’a honorée. Mais que cette distinction autorise la lauréate à énoncer autant de contre-vérités la discrédite.

Les tensions actuelles entre Occident et Russie n’ont rien à gagner avec de telles propos mensongers. A moins que le choix opéré par Stockholm n’ait été, comme d’aucuns l’affirment, de pur intérêt politique.

 

Politique

Arabie Saoudite-Russie, un point de vue

Le point de vue de Roland Lombardi sur les relations entre Arabie Saoudite et Russie ne manque pas d’intérêt.
Il est publié sur le site créé par Jean-François Coustillière, ancien officier de marine.

L’éclairage donné aux relations qu’entretiennent nombre de pays concernés par la situation en Syrie révèle toute sa complexité et l’importance cruciale de négociations.

À cet égard, Roland Lombardi relève le rôle majeure joué par la diplomatie russe.

Par son approche, cet article tranche avec nombre d’autres qui, d’emblée, dressent des camps les uns contre les autres sinon prédisent le pire à venir.