Il y aura bientôt un an, Genève accueillait les Présidents Biden et Poutine. La diplomatie avait encore son mot à dire. Même si nombreuses ont été les réactions désenchantées.
Car bien sûr que la violence fait partie intégrante de l’être humain mais se résoudre à ce constat, c’est donner d’emblée perdant le dialogue. C’est considérer vain tout ultime espoir d’échange.
À partir de là, jugements et condamnations peuvent toujours tomber, quand ce ne sont pas les répliques au « coup pour coup ».
Face à une tension maximale, prôner le respect mutuel reste, hélas, sans grand écho. Ne pas renoncer à le faire entendre malgré tout, cet écho, c’est oeuvrer à l’apaisement.
Et le rappeler autant de fois que le commande le coeur ET la raison, c’est refuser de donner des bons et des mauvais points à tel ou à tel camp.
Mais qui entend encore ce point de vue quand se déchaîne la passion?
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