Des pages et des pages sont à remplir sur la manière de plier les opinions à la seule qui doit dominer. Combien d’entre nous ne s’y sont pas déjà employés et sans relâche?
On découvre, ce jour, ce qui choque. Ce qui doit choquer. Une maternité bombardée.
Inutile d’en rajouter, chacune et chacun mesure en son for intérieur ce que représente pareille attaque. Dans ce sens, j’imagine combien parents et proches de victimes de telles catastrophes auraient été heureux que l’on considère leur douleur, il y a 7 ans.
Oui, il y a 7 ans, déjà. Dans ce Donbass dont tant de nos compatriotes découvrent soudain l’existence.
Qui aurait pu la connaître, l’existence de cette région située au coeur de l’Europe alors que nos médias observaient une telle retenue, une telle réserve à en traiter quand ils en traitaient?
Il y a 7 ans déjà, des bombardements visaient des hôpitaux du Donbass. Msf avait communiqué à cet effet.
La douleur des uns face à la douleur des autres, vaste sujet qui ne date ni d’hier ni d’aujourd’hui, hélas! Parce que le mal, parce que la mort, infligée et subie, n’as pas le même sens ici ou là.
1 Comment
Désolé, mais cette maternité est un mensonge.
Réponse de Lavrov:
« About the maternity hospital, this is not the first time we have seen pathetic cries about the so-called ‘atrocities’ committed by the Russian armed forces. Three days ago, on March 7, at a meeting of the UN Security Council, our delegation presented the facts that this maternity hospital had long been seized by the ultra-radical battalion ‘Azov’, from where all the women in labor, nurses, all the attendants were expelled. Therefore, draw your own conclusions about how public opinion around the world is manipulated. »
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Une fois de plus la douleur est à sens unique. La propagande des nazis est partout. La vérité n’intéresse pas les occidentaux.
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Et si on parlait plutôt des laboratoires biologiques militaires. Ils sont apparus quand Yushenko était au pouvoir. Yukashenko n’en voulait plus. Vous connaissez la suite.