Mais quoi, face aux guerres, ne reste-t-il que les yeux pour pleurer, faute de mains encore à même d’arracher à la mort ses victimes?
Le Haut-Karabagh, appelé aussi Nagorno-Karabagh, connaît un regain de violence depuis le début de ce mois d’avril.
L’image ci-dessus en témoigne et d’autres encore, prises par Hakob Poghosyan dans le village de Talyche où les forces armées de l’Azerbaïdjan n’ont pas ménagé leurs efforts, encore moins, leur cruauté:
https://civilwarineurope.com/2016/04/04/haut-karabagh-les-crimes-de-guerre-des-soldats-azerbaidjanais-en-images/
Nombre d’observateurs s’accordent à voir la Turquie attiser les tensions demeurées latentes dans le Caucase du Sud quand d’autres, au contraire, y verraient plutôt la Russie.
La situation est analysée au regard des derniers événements qui ont vu se dégrader de manière notoire, les relations entre Turquie et Russie.
Quelles que soient les revendications et autres prétentions des uns et des autres, leur coût est élevé.
Il se chiffre, certes, en millions ou milliards de dollars mais en autant de tragédies humaines.
Les commentateurs n’y changeront rien, la sauvagerie a pignon sur Terre.
https://www.opinion-internationale.com/2016/04/07/harold-a-la-carte-conflit-au-nagorno-karabakh_42601.html
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